C’est la société I-care qui succède à EASI au titre convoité de 'L’Entreprise de L’Année', dont la 25e édition avait lieu ce 7 décembre. Proxyclick décroche quant à elle le prix de la 'Scale-up de l’Année'.
C’est finalement I-care, une société basée à Mons et spécialisée dans l’intelligence artificielle pour l’industrie, qui a été élue Entreprise de l’Année et a reçu le trophée envié des mains du Premier ministre Alexander De Croo. Quant à Proxyclick, elle a reçu le titre de Scale-up de l’Année de la part de David Clarinval, ministre des Indépendants et des PME.
'L’Entreprise de l’Année', organisé par EY en partenariat avec L’Echo et notre banque, fêtait cette année sa 25e édition. Et même si la cérémonie se tenait à distance, la récompense obtenue n’en reste pas moins prestigieuse.
I-care, le fleuron belge des services technologiques
I-care est une société pionnière dans le domaine de l’intelligence artificielle appliquée à la maintenance prédictive industrielle. Créée il y a 16 ans, elle compte aujourd’hui plus de 450 employés – la moitié en Belgique, l’autre répartie dans plus de 10 pays, comme les Etats-Unis, l’Australie ou la Corée du Sud. L’entreprise propose l’une des meilleures plateformes de gestion de l’état de santé des machines industrielles dans le monde.
Grâce aux solutions d’I-care, les équipements industriels sont plus sûrs, plus productifs, plus rentables et moins polluants. Forte de son expertise, de sa technologie et de sa stratégie de croissance, I-care espère devenir leader mondial de la maintenance prédictive d’ici 2025 et atteindre les 100 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Le Président du jury a été particulièrement conquis par l’innovation dont fait preuve l’entreprise.
"I-care a déposé pas moins de 10 brevets depuis mars malgré l'épidémie de Covid" a déclaré Laurent Levaux. "L’entreprise enthousiasme aussi par une croissance impressionnante de 35% par an, chaque année depuis 15 ans, en Belgique et surtout dans le monde."
Proxyclick, l’étoile montante de l’entrepreneuriat belge
Élue Scale-up de l’Année, Proxyclick offre des solutions permettant aux sites de bureaux et de production de répondre à leurs impératifs de sécurité et de protection des données lors de l’accueil de leurs visiteurs.
Proxyclick compte désormais des clients dans plus de 100 pays à travers le monde, dont L’Oréal, Airbnb, UCB et Sodexo. Constamment à la recherche de nouveaux collaborateurs, l’entreprise veut renforcer sa présence en Amérique du Nord, qui représente déjà 40 % de son chiffre d’affaires. L’objectif de Proxyclick est à présent de dépasser le milliard d’enregistrements avant 2025.
"Son offre de services positionne mondialement Proxyclick au cœur d’un écosystème qui englobe le contrôle d’accès, la gestion des salles de réunions, des accès wifi, jusqu’au traitement automatisé des documents liés aux visiteurs", a déclaré le Baron Pierre Rion, Président du jury. " La gestion complètement intégrée de ces flux lui a permis de s’imposer comme l’incontournable partenaire d’acteurs mondiaux."
Notre banque aux côté des entrepreneurs
Didier Beauvois, Head of Corporate Banking, a réagi à l’annonce des gagnants.
“Cette année, les entreprises ont été confrontées à des défis de taille”, a-t-il déclaré. “Elles ont dû faire preuve de créativité et de flexibilité pour y répondre. I-care y est parvenue en commercialisant son thermomètre 4.0 et en accélérant sa transition digitale. Quant à Proxyclick, elle a développé une nouvelle technologie d’enregistrement en pleine crise sanitaire. Chaque lauréat a montré sa résilience dans ces moments compliqués et affiche un beau parcours. Chacun d’entre eux contribue à un climat entrepreneurial positif en Belgique. Je tiens une fois de plus à féliciter toutes les entreprises finalistes, et j’ai hâte de continuer à accompagner ces entrepreneurs qui font avancer l’économie belge.”
Du côté néerlandophone du pays, le prix 'Onderneming van het Jaar' comme celui de 'Scale-Up van het Jaar' seront remis ce 8 décembre.
24.11.2020
Aux premières loges pour découvrir 'L’Entreprise de l’Année'
En 2020, l’Entreprise de l’Année fête ses 25 ans. Le 7 décembre, le grand gagnant de cette prestigieuse récompense sera annoncé lors d’une cérémonie qui se tiendra en ligne, et à laquelle chacun est invité.
Voilà déjà 25 ans qu’EY organise l’événement 'L’Entreprise de l’Année' en collaboration avec L’Echo et notre banque. Étant donné les circonstances, ce rendez-vous aura lieu à distance cette année. La bonne nouvelle, c’est qu’un plus grand nombre de personnes pourra assister à la remise des prix et découvrir, en direct, lequel des cinq nominés remportera la prestigieuse récompense. Le titre de la 'Scale-up de l’Année' sera également remis le même jour. Inscrivez-vous dès maintenant pour ne pas manquer cet événement exceptionnel.
“Cette année, les entreprises ont été confrontées à des défis de taille”, déclare Didier Beauvois, Head of Corporate Banking et membre du comité de direction de BNP Paribas Fortis. “Elles ont dû faire preuve de créativité et d’agilité pour y répondre, tout en continuant leur transformation vers un business model plus durable. Nous sommes donc d’autant plus fiers de récompenser les efforts de nos finalistes et leur contribution à la santé de notre économie.”
La crème de la crème
Les entreprises prétendant au titre de ‘L’Entreprise de l’Année’ sont sélectionnées sur base de critères bien précis. En plus de la croissance et des résultats financiers, sont également pris en compte la volonté d’entreprendre, l’ouverture sur le monde, le degré d’innovation et la gouvernance d’entreprise.
Qui sera l’'Entreprise de l’Année'?
- Dubuisson, la plus ancienne brasserie de Wallonie, réputée pour ses bières Bush ou Cuvée des Trolls;
- Efficy, éditeur de logiciels de gestion de la relation client;
- I-care, pionnière dans l’intelligence artificielle appliquée à la maintenance prédictive industrielle;
- Technord, groupe familial spécialisé dans l’intégration de solutions liées à l’électricité industrielle, l’automatisation et l’informatique industrielle;
- TRBA, active dans le secteur de la construction et dans les travaux d’infrastructures (auto)routière et (aéro)portuaire.
Des scale-up prometteuses
Les prétendants au titre de 'Scale-up de l’Année' sont des entreprises ambitieuses en pleine croissance et qui ont déjà un beau parcours derrière elles. Cette récompense vise à les encourager à continuer à investir , innover et s’étendre à l’international.
Qui sera la ‘Scale-up de l’Année’?
- BePark, acteur digital visant à générer de la valeur sur des parkings hors voirie, souvent sous-exploités;
- EyeD Pharma, société de recherche et développement pharmaceutique spécialiste des micro-implants;
- La Niche, agence digitale orientée stratégie et marketing;
- Proxyclick, qui offre aux sites de bureaux et de production des solutions répondant à leurs impératifs de sécurité et de protection des données lors de l’accueil de leurs visiteurs;
- Sortlist, une plateforme orientant les responsables marketing vers les agences les plus pertinentes pour répondre à leurs problématiques créatives et digitales.
Envie d’en savoir plus les dix finalistes? Rendez-vous sur cette page.
Côté néerlandophone, ce sont les entreprises Abriso-Jiffy, Konings, Stow et Van Marcke qui concourront pour les prix de 'Onderneming van het Jaar', tandis que FibriCheck, Robovision, THEO Technologies et Unifly visent la récompense 'Scale-up van het Jaar'. L’événement aura lieu le 8 décembre. Retrouvez toutes les infos sur cette page.
11.09.2024
Découvrez nos options de leasing et laissez-vous séduire par notre TopDeal
Vous souhaitez louer une voiture de société, mais sans vraiment savoir ce que vous avez comme possibilités ? Nous vous expliquons quelles sont vos différentes options, pour choisir le type de leasing qui vous convient le mieux. Et jusqu’au 30 novembre 2024, vous pouvez aussi profiter d’un TopDeal de notre partenaire Arval pour les nouvelles BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électriques à un prix tout compris très avantageux.
Leasing financier ou opérationnel ?
Pour le leasing financier comme pour le leasing opérationnel, c’est la même logique qui s’applique : vous payez un loyer à une société de leasing pour une période donnée, généralement quatre ou cinq ans. Dans les deux formules, la société de leasing est le propriétaire légal du véhicule. Mais vous disposez d’une option d’achat à la fin du contrat. Dans le cas d’un leasing financier, le montant de l’option d’achat est connu dès le début du contrat. Dans le cas d’un leasing opérationnel, le montant est déterminé à la fin du contrat sur la base de la valeur de marché de la voiture.
La formule « services compris »
C’est l’un des grands avantages du leasing opérationnel par rapport au leasing financier : les taxes, l’assurance (omnium), l’entretien et les charges (sauf le carburant) sont compris dans le loyer. De plus, vous bénéficiez de services supplémentaires tels que des pneus été et hiver, un service de dépannage et un véhicule de remplacement. Autrement dit, vous payez un certain montant tous les mois, et tout est réglé pour vous. Bref, vous roulez sans avoir à vous soucier de quoi que ce soit : tout est payé, sauf le carburant.
Quelles conséquences fiscales ?
L’option d’achat a des conséquences fiscales : dans le cas d’un leasing financier, vous amortissez le bien d’investissement et vous déduisez fiscalement les intérêts. Le véhicule est comptabilisé à l’actif de votre bilan. Avec un leasing opérationnel, vous déduisez la totalité du montant de la location au titre de frais. Dans les deux cas, des plafonds de déduction fiscale s’appliquent et vous devrez peut-être tenir compte de l’utilisation professionnelle de la voiture. Sans oublier que la TVA est payée mensuellement sur le loyer et donc pas en une seule fois. Cela vous permet de préserver vos lignes de crédit pour d’autres investissements.
Laissez-vous séduire par notre TopDeal
Nous proposons une offre exceptionnelle jusqu’au 30 novembre 2024 : vous pouvez louer la nouvelle BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électrique dans le cadre d’un leasing opérationnel à un prix avantageux et exclusif, tous services compris.
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Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire en assurances à titre accessoire, inscrit auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.
04.09.2024
Arval : de la mobilité, privée et professionnelle
De nombreux collaborateurs voient aujourd’hui la mobilité comme une nécessité qu’ils abordent avec leur employeur. Depuis longtemps déjà, ils ne se déplacent plus exclusivement en voiture. Ils combinent de plus en plus souvent plusieurs solutions de mobilité, privées, publiques et mixtes. Les entreprises belges sont donc de plus en plus en demande de know-how pour mettre au point le mix parfait de mobilité, adapté à la fois à leurs besoins professionnels et à ceux de leur personnel. Les spécialistes en mobilité d’Arval expliquent comment évolue la mobilité et comment ils tiennent compte de cette évolution. Et pour cela, il faut non seulement les bonnes connaissances, mais aussi disposer d’un package d’accompagnement grâce auquel ils peuvent vraiment aider les employeurs.
Philippe Kahn, Mobility Solutions Expert, résume la vision et la mission d’Arval : « Life is a journey made of journeys. Chez Arval, nous traduisons ceci en nous demandant constamment comment soutenir et soulager les petites, moyennes et grandes entreprises pour toutes leurs questions de mobilité. Et dans notre ADN de facilitateur, il y a deux aspects importants qui apportent de la valeur : la mobilité personnelle et la mobilité durable*. De l’indépendant en personne physique à la grande entreprise : Arval met son know-how corporate au service de toutes et tous en veillant toujours à proposer une solution globale tout-en-un. »
*La mobilité durable : une mobilité moins émettrice en gaz à effets de serre, qui promeut l’électrification, la mobilité douce et/ou les transports en commun.
La mobilité durable, une évidence
Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises jouent pleinement la carte de la mobilité durable, ou évoluent dans cette direction. Cela implique non seulement de se tourner vers les voitures électriques, mais aussi de s’ouvrir aux nouvelles solutions de mobilité. Et dans ce contexte, Arval doit informer ses clients et les accompagner dans leurs ambitions de mobilité durable. De nouvelles solutions de mobilité comme Arval Bike Lease, Arval Car Sharing et le futur outil de gestion du budget sont pour de nombreuses entreprises la clé pour faire évoluer leur mobilité dans le bon sens.
Un atout dans la « guerre des talents »
Par ailleurs, toutes ces solutions ne sont pas que de simples options de déplacement : elles s’intègrent aussi dans le concept HR mis en place par les entreprises dans leur « guerre des talents ». Philippe Kahn et Arval travaillent de plus en plus souvent avec des entreprises qui veulent se positionner sur ces enjeux de mobilité. Elles estiment que c’est une belle occasion de renforcer le lien avec leurs équipes ou d’attirer de nouveaux talents.
Philippe Kahn : « Beaucoup d’entreprises tiennent par exemple compte de la mobilité pour choisir l’endroit où elles s’implantent. Elles cherchent à être proches d’un centre de mobilité, par exemple une grande gare comme Bruxelles-Central ou Anvers-Berchem. Ça leur permet de proposer à leurs collaborateurs un mix complet de solutions de mobilité : vélo ou trottinette partagée pour aller au travail, voiture de pool ou train pour leurs déplacements, bus et voitures partagées… Et ils financent le tout avec le budget mobilité qu’ils reçoivent de leur employeur. »
De la valeur ajoutée sur le plan professionnel et personnel
L’outil de gestion du budget grâce auquel les entreprises gardent un œil sur toutes les solutions de mobilité utilisées par leurs collaborateurs et leur coût, n’est qu’une petite partie de la valeur ajoutée d’Arval pour les entreprises. La consultance en mobilité fait aussi partie intégrante de son offre pour les entreprises.
Philippe Kahn : « Imaginons qu’une entreprise d’environ 100 collaborateurs envisage de déménager dans le centre d’Anvers. Nous allons définir avec elle quelles sont les nouvelles solutions de mobilité dont elle aura besoin et leur coût total. Nous travaillerons donc en intégrant vraiment l’équipe et nous analyserons ensemble l’impact futur des différentes solutions de mobilité. C’est un travail sur mesure qui nous permet de mettre notre expertise au service de nos clients. »
Cette expertise permet souvent aux entreprises de progresser dans leur gestion d’entreprise, mais aussi dans celle de leurs équipes. Philippe Kahn : « Le temps du fichier Excel où on tenait à jour l’utilisation de la voiture de pool est révolu. Les applications pour smartphone ou PC rendent tout plus facile et plus fluide. Elles localisent les voitures de pool des différents sites, et assouplissent la frontière entre voitures de pool et voitures partagées. Ainsi, pendant le week-end, les collaborateurs ont la possibilité d’utiliser à des fins privées – et contre paiement – la voiture qu’ils utilisent pour leurs déplacements professionnels. L’accompagnement standard lié au leasing d’un vélo électrique fait aussi partie de notre offre. A cet égard, Arval facilite la vie des employeurs tout en leur permettant aussi de proposer des solutions à leurs collaborateurs pour leur mobilité privée. Les entreprises vont ainsi vraiment faire partie de la vie quotidienne de leurs collaborateurs, via leur dossier de mobilité. »
Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire d’assurance à titre accessoire enregistré auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.
25.06.2024
Lancer sa transition avec Climact
Comment transformer les contraintes de la transition énergétique en opportunité stratégique ? « Avec rigueur et pragmatisme », nous explique notre partenaire Climact.
«Nous accompagnons et conseillons les entreprises pour qu’elles deviennent plus matures sur les enjeux liés au réchauffement climatique. Et ça implique d’aborder un certain nombre d’obligations, comme le reporting sur la durabilité exigé par la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) », explique Jerome Meessen, Associate Partner chez Climact. « Nous veillons à ce qu’elles retirent une vraie valeur ajoutée de cet exercice, les plus tangibles étant une réduction de leurs dépenses énergétiques ou une meilleure résilience de leurs fournisseurs et clients vis-à-vis de la transition climatique. Et nous le faisons à la fois avec rigueur et pragmatisme. Rigueur, car nous nous basons sur des chiffres et utilisons des méthodes reconnues, comme le Greenhouse Gas Protocol pour le calcul de l’empreinte carbone, sans tomber dans les pièges du greenwashing. Et pragmatisme, parce que nous nous adaptons toujours à la réalité de l’entreprise. »
Un parcours en 5 étapes
Mais concrètement, comment Climact accompagne-t-il les entreprises et organisations publiques ?
Jerome Meessen : « Nous les aidons tout d’abord à bien comprendre les enjeux du changement climatique auxquelles elles sont ou vont être confrontées. Nous le faisons en dressant une cartographie des opportunités et des risques, par exemple celui d’inondation d’un site de production ou les conséquences d’un prix carbone élevé. Nous établissons dans la foulée le diagnostic de leur incidence actuelle, c’est-à-dire le bilan carbone de leurs activités. Nous passons ensuite à l’étape de la vision future, en fixant avec elles des objectifs de durabilité, en nous référant lorsque c’est pertinent aux standards internationaux des Science Based Targets. Puis nous les aidons à mettre sur pied un plan de transition bien concret et à l’appliquer sur le terrain, par exemple en leur permettant de définir le contenu et les détails d’un contrat d’achat d’énergie verte. Et enfin, nous les accompagnons pour communiquer sur leur engagement, et ce notamment en nous alignant avec les exigences de la CSRD. »
La CSRD, charge administrative ou opportunité stratégique ?
Entrée en vigueur cette année, la CSRD et ses impératifs de reporting sont un passage obligé pour de nombreuses entreprises. « L’ambition de la directive est de donner un maximum de transparence sur l’état de la transition durable des entreprises », précise Jerome Meessen. « Le reporting porte sur des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Ce tableau permet aussi aux acteurs extérieurs, en particulier ceux qui vont financer l’entreprise, d’avoir une vue objective du chemin accompli, de l’ambition climatique et de l’exposition aux risques du changement climatique.
« Cet exercice de reporting est une charge administrative significative pour les entreprises », enchaîne Jérémy Robinet, qui coordonne le partenariat avec BNP Paribas Fortis. « Il faut respecter une méthodologie et des standards précis, remplir des formulaires, fournir des indicateurs… Mais c’est aussi l’occasion d’élaborer une stratégie solide et fondée de transition qui sera bénéfique pour l’entreprise, y compris en termes de réputation. Grâce à notre accompagnement, les entreprises gagnent du temps. Elles ont la certitude que leur reporting respecte les contraintes réglementaires, et elles donnent de la valeur et du sens à leur démarche ESG. »
Climact, partenaire de BNP Paribas Fortis
Climact est l’un des partenaires sélectionnés par BNP Paribas Fortis pour accompagner ses entreprises clientes au-delà des seuls enjeux financiers. « A l’initiative du Relationship Manager de la banque, nous rencontrons les entreprises qui souhaitent avancer sur leur transition énergétique et durable, plus spécifiquement pour leur stratégie de décarbonation et pour dresser leur bilan carbone», explique Jérémy Robinet.
Gilles Roumain, Sustainibility Program Officer chez BNP Paribas Fortis et responsable du partenariat avec Climact : « La collaboration avec Climact nous permet d’apporter des solutions à nos clients pour les accompagner dans la décarbonation de leurs activités, mais aussi d’améliorer notre expertise pour ces questions de la décarbonation. Et en leur proposant cet accompagnement, c’est aussi notre propre empreinte carbone que nous réduisons. »
« Les entreprises que la banque met en contact avec nous viennent de tous les secteurs », poursuit Jérémy Robinet. « Elles présentent une certaine envergure, avec par exemple un chiffre d’affaires d’au moins 25 millions ou une supply chain complexe. Ce partenariat a déjà débouché sur une quinzaine de collaborations, dont celle avec le fabricant de portes de garage RE Panels.
Nous les avons dans un premier temps accompagnés pour établir un bilan carbone conforme aux obligations européennes de la CSRD. La direction a ensuite vu un intérêt stratégique dans ce travail et nous a demandé d’effectuer d’autres analyses plus spécifiques, par produit et site de production. Cet exercice leur a permis d’identifier des best practices. RE Panels a apprécié notre approche. Pour chaque objectif d’amélioration de l’empreinte carbone, nous avons chiffré le coût, le gain et le montant de l’investissement. Ils ont aussi salué la rigueur de l’alignement sur les standards internationaux, un élément essentiel pour éviter de tomber dans les travers du greenwashing. »