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01.02.2017

La construction du mur pourrait aussi faire du tort aux Etats-Unis

« La frontière est ‘very, very good’ pour le Mexique », avait déclaré Donald Trump au cours de la conférence de presse pendant laquelle il a annoncé la construction d’un mur de 2.000 miles.

“De grens is ‘very, very good’ voor Mexico,” stelde Donald Trump tijdens de persconferentie tijdens dewelke hij de bouw van een 2000 mijl lange muur aankondigde.

Ongetwijfeld is ook het massaal terugsturen van Mexicanen en andere immigranten zonder papier zéér goed volgens Trump, net als de heronderhandeling van het 23-jarige Noord-Amerikaans vrijhandelsakkoord (NAFTA) en de afgelasting van de bouw van grote fabrieken in Mexico door Amerikaanse multinationals.

Eind 2014 waren er zo’n 11,1 miljoen illegale immigranten in de VS, goed voor 3,5% van de totale Amerikaanse populatie, aldus het Amerikaanse Pew Research Center. Een goede helft daarvan komt uit Mexico. In de totale arbeidsbevolking nemen illegale migranten 5% voor hun rekening of 8 miljoen mensen. Een kwart van hen is tewerkgesteld in landbouw, 15% werkt in de bouwsector. Bijna 2/3de leeft al minstens 10 jaar in de VS.

De beperking van immigratie in combinatie met het massaal uitwijzen van illegale migranten zou de Amerikaanse economie pijn doen, zowel op korte als op lange termijn.

Het aandeel van Latijns-Amerikaanse werknemers in de totale arbeidsmarkt (dus ook de legale) steeg de voorbije 40 jaar van iets meer dan 4% naar 17%. Groei van de arbeidsbevolking en productiviteit zijn de twee elementen die de economische groei bepalen. Deze mensen hebben de voorbije halve eeuw aanzienlijk bijgedragen aan de sterke Amerikaanse groeiprestatie .

Ook op korte termijn zal de uitwijzing van migranten de Amerikaanse economie pijn doen. De huidige werkloosheidsgraad van 4,7% ligt onder de door de Fed geraamde NAIRU (Non-Accelerating Inflation Rate of Unemployment). Dat is het niveau waaronder de Fed van mening is dat het zeer moeilijk wordt om werknemers te vinden en de lonen dus aantrekken. Die versnelling van de looninflatie komt de laatste maanden steeds sterker naar voor.

Bron: Koen De Leus
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25.10.2016

La quatrième révolution industrielle est en marche

Pour Koen De Leus, nouveau Chief Economist de la banque, la révolution numérique suppose une intervention de l'Etat.

Après avoir travaillé pour De Tijd, puis pour KBC, Koen De Leus a rejoint BNP Paribas Fortis en septembre. Le nouveau Chief Economist de la banque s'intéresse beaucoup à la digitalisation, qu'il qualifie de quatrième révolution industrielle. Au point d'y consacrer un livre, à paraître en 2017. Entretien.

Pourquoi ce thème vous intéresse-t-il autant ?

Koen: Parce que je suis convaincu que l'économie va subir de profondes transformations dans les années qui viennent. L'intelligence artificielle et la digitalisation vont amener de fantastiques progrès, qui permettront de produire davantage de biens et services, nouveaux ou existants, à des coûts inférieurs. Souvenons-nous que chaque cycle économique résulte d’une innovation fondamentale, qui rompt avec un modèle existant: la vapeur, l’électricité, l’informatique et aujourd'hui le numérique. De cette innovation initiale découlent des centaines d’inventions appliquées à tous les secteurs de l’économie. Mais, comme on a l'observé lors des deux précédentes révolutions industrielles, ces progrès creusent dans un premier temps les inégalités et s'accompagnent de nombreuses pertes d'emploi. C’est la théorie de la 'destruction créatrice'. La quatrième révolution industrielle a déjà commencé, et elle concerne tous les secteurs.

Vous annoncez là de bien tristes perspectives. Y a-t-il tout de même des solutions

Koen: Ces ruptures nées de la quatrième révolution industrielle vont créer les conditions de l’apparition de nouveaux métiers. Mais il faudra prendre des mesures - et c'est aux gouvernements de les prendre - pour préparer la réintégration des victimes de la digitalisation dans cette nouvelle donne économique, que ce soit par la formation ou l'instauration d'un revenu de base. Cela ne sera pas facile mais c'est indispensable, si on veut contrer la montée des extrémismes, qui se nourrissent des inégalités sociales nées des progrès technologiques.

Mais les gouvernements sont confrontés aux politiques d'austérité imposées par l'Union européenne. Comment peuvent-ils faire ?

Koen: Maintenir à tout prix un équilibre budgétaire n'a pas de sens. Actuellement, les Etats peuvent emprunter à 0 %; pourquoi devraient-ils s'en priver? Ils doivent disposer de davantage de marge de manœuvre, si l'on veut d'une part relancer la croissance via des investissements et d'autre part aider et relancer ceux qui ont perdu ou vont perdre leur emploi à cause de la digitalisation. Il faut en même temps soutenir l'innovation, viser davantage de rentabilité. Pour réaliser tout cela, les gouvernements doivent investir non seulement davantage, mais aussi plus efficacement et plus intelligemment.

Vous comptez beaucoup sur l'intervention de l'Etat. N'est-ce pas là une différence fondamentale avec votre prédécesseur, Peter De Keyzer?

Koen: Mon prédécesseur pense en effet qu'il faut laisser faire le marché. Dans la majorité des cas, je suis d’accord avec lui. Mais parfois, les gouvernements doivent intervenir pour s’attaquer aux déséquilibres, aux externalités négatives. Le système crée parfois des inégalités extrêmes, qui alimentent le populisme et le repli sur soi. Les Etats doivent veiller à limiter ces inégalités. Ils doivent aussi, dans un monde digital où les meilleurs remportent la mise, lutter contre la toute-puissance des monopoles. C'est ce que tente de faire l'Union européenne, lorsqu'elle dénonce les problèmes de concurrence soulevés par des entreprises devenues trop grandes telles que Google, Facebook, Amazon ou Apple. Le libéralisme économique reste le meilleur modèle économique, mais parfois, il faut sauver le capitalisme des capitalistes.

Quelles sont vos ambitions en tant que Chief Economist? Qu'avez-vous envie de réaliser?

Koen: J'aimerais positionner encore davantage la banque comme un 'think tank' économique, une référence pour nos stakeholders internes et externes. Un 'think tank' porté non seulement sur l'économie internationale, mais aussi sur l'économie belge.

Diplômé en économie (EHSAL), Koen De Leus (47 ans) a commencé sa carrière comme analyste au journal De Tijd. En 2004, il y est devenu le Chief Economist, jusqu'en 2006, date à laquelle il a rejoint Bolero (broker online de KBC Securities) en tant que Market Strategist. En 2012, il est devenu Senior Economist chez KBC. Il occupe la fonction de Chief Economist de BNP Paribas Fortis depuis le 1er septembre 2016. Koen De Leus a déjà écrit deux livres: 'Naar Grijsland' (sur les conséquences du vieillissement de la population) et 'Gouden Beursleuzen' (sur les pièges dans lesquels tombent fréquemment les investisseurs). Il prépare un troisième ouvrage sur la révolution numérique et son impact socioéconomique
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11.09.2024

Découvrez nos options de leasing et laissez-vous séduire par notre TopDeal

Vous souhaitez louer une voiture de société, mais sans vraiment savoir ce que vous avez comme possibilités ? Nous vous expliquons quelles sont vos différentes options, pour choisir le type de leasing qui vous convient le mieux. Et jusqu’au 30 novembre 2024, vous pouvez aussi profiter d’un TopDeal de notre partenaire Arval pour les nouvelles BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électriques à un prix tout compris très avantageux.

Leasing financier ou opérationnel ?

Pour le leasing financier comme pour le leasing opérationnel, c’est la même logique qui s’applique : vous payez un loyer à une société de leasing pour une période donnée, généralement quatre ou cinq ans. Dans les deux formules, la société de leasing est le propriétaire légal du véhicule. Mais vous disposez d’une option d’achat à la fin du contrat. Dans le cas d’un leasing financier, le montant de l’option d’achat est connu dès le début du contrat. Dans le cas d’un leasing opérationnel, le montant est déterminé à la fin du contrat sur la base de la valeur de marché de la voiture.

La formule « services compris »

C’est l’un des grands avantages du leasing opérationnel par rapport au leasing financier : les taxes, l’assurance (omnium), l’entretien et les charges (sauf le carburant) sont compris dans le loyer. De plus, vous bénéficiez de services supplémentaires tels que des pneus été et hiver, un service de dépannage et un véhicule de remplacement. Autrement dit, vous payez un certain montant tous les mois, et tout est réglé pour vous. Bref, vous roulez sans avoir à vous soucier de quoi que ce soit : tout est payé, sauf le carburant.

Quelles conséquences fiscales ?

L’option d’achat a des conséquences fiscales : dans le cas d’un leasing financier, vous amortissez le bien d’investissement et vous déduisez fiscalement les intérêts. Le véhicule est comptabilisé à l’actif de votre bilan. Avec un leasing opérationnel, vous déduisez la totalité du montant de la location au titre de frais. Dans les deux cas, des plafonds de déduction fiscale s’appliquent et vous devrez peut-être tenir compte de l’utilisation professionnelle de la voiture. Sans oublier que la TVA est payée mensuellement sur le loyer et donc pas en une seule fois. Cela vous permet de préserver vos lignes de crédit pour d’autres investissements.

Laissez-vous séduire par notre TopDeal

Nous proposons une offre exceptionnelle jusqu’au 30 novembre 2024 : vous pouvez louer la nouvelle BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électrique dans le cadre d’un leasing opérationnel à un prix avantageux et exclusif, tous services compris.

Envie d’en savoir plus ? Vous trouverez tous les détails sur cette page

Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire en assurances à titre accessoire, inscrit auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.

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04.09.2024

Arval : de la mobilité, privée et professionnelle

De nombreux collaborateurs voient aujourd’hui la mobilité comme une nécessité qu’ils abordent avec leur employeur. Depuis longtemps déjà, ils ne se déplacent plus exclusivement en voiture. Ils combinent de plus en plus souvent plusieurs solutions de mobilité, privées, publiques et mixtes. Les entreprises belges sont donc de plus en plus en demande de know-how pour mettre au point le mix parfait de mobilité, adapté à la fois à leurs besoins professionnels et à ceux de leur personnel. Les spécialistes en mobilité d’Arval expliquent comment évolue la mobilité et comment ils tiennent compte de cette évolution. Et pour cela, il faut non seulement les bonnes connaissances, mais aussi disposer d’un package d’accompagnement grâce auquel ils peuvent vraiment aider les employeurs.

Philippe Kahn, Mobility Solutions Expert, résume la vision et la mission d’Arval : « Life is a journey made of journeys. Chez Arval, nous traduisons ceci en nous demandant constamment comment soutenir et soulager les petites, moyennes et grandes entreprises pour toutes leurs questions de mobilité. Et dans notre ADN de facilitateur, il y a deux aspects importants qui apportent de la valeur : la mobilité personnelle et la mobilité durable*. De l’indépendant en personne physique à la grande entreprise : Arval met son know-how corporate au service de toutes et tous en veillant toujours à proposer une solution globale tout-en-un. »

*La mobilité durable : une mobilité moins émettrice en gaz à effets de serre, qui promeut l’électrification, la mobilité douce et/ou les transports en commun.

La mobilité durable, une évidence

Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises jouent pleinement la carte de la mobilité durable, ou évoluent dans cette direction. Cela implique non seulement de se tourner vers les voitures électriques, mais aussi de s’ouvrir aux nouvelles solutions de mobilité. Et dans ce contexte, Arval doit informer ses clients et les accompagner dans leurs ambitions de mobilité durable. De nouvelles solutions de mobilité comme Arval Bike Lease, Arval Car Sharing et le futur outil de gestion du budget sont pour de nombreuses entreprises la clé pour faire évoluer leur mobilité dans le bon sens.

Un atout dans la « guerre des talents »

Par ailleurs, toutes ces solutions ne sont pas que de simples options de déplacement : elles s’intègrent aussi dans le concept HR mis en place par les entreprises dans leur « guerre des talents ». Philippe Kahn et Arval travaillent de plus en plus souvent avec des entreprises qui veulent se positionner sur ces enjeux de mobilité. Elles estiment que c’est une belle occasion de renforcer le lien avec leurs équipes ou d’attirer de nouveaux talents.

Philippe Kahn : « Beaucoup d’entreprises tiennent par exemple compte de la mobilité pour choisir l’endroit où elles s’implantent. Elles cherchent à être proches d’un centre de mobilité, par exemple une grande gare comme Bruxelles-Central ou Anvers-Berchem. Ça leur permet de proposer à leurs collaborateurs un mix complet de solutions de mobilité : vélo ou trottinette partagée pour aller au travail, voiture de pool ou train pour leurs déplacements, bus et voitures partagées… Et ils financent le tout avec le budget mobilité qu’ils reçoivent de leur employeur. »

De la valeur ajoutée sur le plan professionnel et personnel

L’outil de gestion du budget grâce auquel les entreprises gardent un œil sur toutes les solutions de mobilité utilisées par leurs collaborateurs et leur coût, n’est qu’une petite partie de la valeur ajoutée d’Arval pour les entreprises. La consultance en mobilité fait aussi partie intégrante de son offre pour les entreprises.

Philippe Kahn : « Imaginons qu’une entreprise d’environ 100 collaborateurs envisage de déménager dans le centre d’Anvers. Nous allons définir avec elle quelles sont les nouvelles solutions de mobilité dont elle aura besoin et leur coût total. Nous travaillerons donc en intégrant vraiment l’équipe et nous analyserons ensemble l’impact futur des différentes solutions de mobilité. C’est un travail sur mesure qui nous permet de mettre notre expertise au service de nos clients. »

Cette expertise permet souvent aux entreprises de progresser dans leur gestion d’entreprise, mais aussi dans celle de leurs équipes. Philippe Kahn : « Le temps du fichier Excel où on tenait à jour l’utilisation de la voiture de pool est révolu. Les applications pour smartphone ou PC rendent tout plus facile et plus fluide. Elles localisent les voitures de pool des différents sites, et assouplissent la frontière entre voitures de pool et voitures partagées. Ainsi, pendant le week-end, les collaborateurs ont la possibilité d’utiliser à des fins privées – et contre paiement – la voiture qu’ils utilisent pour leurs déplacements professionnels. L’accompagnement standard lié au leasing d’un vélo électrique fait aussi partie de notre offre. A cet égard, Arval facilite la vie des employeurs tout en leur permettant aussi de proposer des solutions à leurs collaborateurs pour leur mobilité privée. Les entreprises vont ainsi vraiment faire partie de la vie quotidienne de leurs collaborateurs, via leur dossier de mobilité. »

Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire d’assurance à titre accessoire enregistré auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.

Comment transformer les contraintes de la transition énergétique en opportunité stratégique ? « Avec rigueur et pragmatisme », nous explique notre partenaire Climact.

«Nous accompagnons et conseillons les entreprises pour qu’elles deviennent plus matures sur les enjeux liés au réchauffement climatique. Et ça implique d’aborder un certain nombre d’obligations, comme le reporting sur la durabilité exigé par la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) », explique Jerome Meessen, Associate Partner chez Climact. « Nous veillons à ce qu’elles retirent une vraie valeur ajoutée de cet exercice, les plus tangibles étant une réduction de leurs dépenses énergétiques ou une meilleure résilience de leurs fournisseurs et clients vis-à-vis de la transition climatique. Et nous le faisons à la fois avec rigueur et pragmatisme. Rigueur, car nous nous basons sur des chiffres et utilisons des méthodes reconnues, comme le Greenhouse Gas Protocol pour le calcul de l’empreinte carbone, sans tomber dans les pièges du greenwashing. Et pragmatisme, parce que nous nous adaptons toujours à la réalité de l’entreprise. »

Un parcours en 5 étapes

Mais concrètement, comment Climact accompagne-t-il les entreprises et organisations publiques ?

Jerome Meessen : « Nous les aidons tout d’abord à bien comprendre les enjeux du changement climatique auxquelles elles sont ou vont être confrontées. Nous le faisons en dressant une cartographie des opportunités et des risques, par exemple celui d’inondation d’un site de production ou les conséquences d’un prix carbone élevé. Nous établissons dans la foulée le diagnostic de leur incidence actuelle, c’est-à-dire le bilan carbone de leurs activités. Nous passons ensuite à l’étape de la vision future, en fixant avec elles des objectifs de durabilité, en nous référant lorsque c’est pertinent aux standards internationaux des Science Based Targets. Puis nous les aidons à mettre sur pied un plan de transition bien concret et à l’appliquer sur le terrain, par exemple en leur permettant de définir le contenu et les détails d’un contrat d’achat d’énergie verte. Et enfin, nous les accompagnons pour communiquer sur leur engagement, et ce notamment en nous alignant avec les exigences de la CSRD. »

La CSRD, charge administrative ou opportunité stratégique ?

Entrée en vigueur cette année, la CSRD et ses impératifs de reporting sont un passage obligé pour de nombreuses entreprises. « L’ambition de la directive est de donner un maximum de transparence sur l’état de la transition durable des entreprises », précise Jerome Meessen. « Le reporting porte sur des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Ce tableau permet aussi aux acteurs extérieurs, en particulier ceux qui vont financer l’entreprise, d’avoir une vue objective du chemin accompli, de l’ambition climatique et de l’exposition aux risques du changement climatique.

« Cet exercice de reporting est une charge administrative significative pour les entreprises », enchaîne Jérémy Robinet, qui coordonne le partenariat avec BNP Paribas Fortis. « Il faut respecter une méthodologie et des standards précis, remplir des formulaires, fournir des indicateurs… Mais c’est aussi l’occasion d’élaborer une stratégie solide et fondée de transition qui sera bénéfique pour l’entreprise, y compris en termes de réputation. Grâce à notre accompagnement, les entreprises gagnent du temps. Elles ont la certitude que leur reporting respecte les contraintes réglementaires, et elles donnent de la valeur et du sens à leur démarche ESG. »

Climact, partenaire de BNP Paribas Fortis

Climact est l’un des partenaires sélectionnés par BNP Paribas Fortis pour accompagner ses entreprises clientes au-delà des seuls enjeux financiers. « A l’initiative du Relationship Manager de la banque, nous rencontrons les entreprises qui souhaitent avancer sur leur transition énergétique et durable, plus spécifiquement pour leur stratégie de décarbonation et pour dresser leur bilan carbone», explique Jérémy Robinet.

Gilles Roumain, Sustainibility Program Officer chez BNP Paribas Fortis et responsable du partenariat avec Climact : « La collaboration avec Climact nous permet d’apporter des solutions à nos clients pour les accompagner dans la décarbonation de leurs activités, mais aussi d’améliorer notre expertise pour ces questions de la décarbonation. Et en leur proposant cet accompagnement, c’est aussi notre propre empreinte carbone que nous réduisons. »

« Les entreprises que la banque met en contact avec nous viennent de tous les secteurs », poursuit Jérémy Robinet. « Elles présentent une certaine envergure, avec par exemple un chiffre d’affaires d’au moins 25 millions ou une supply chain complexe. Ce partenariat a déjà débouché sur une quinzaine de collaborations, dont celle avec le fabricant de portes de garage RE Panels.

Nous les avons dans un premier temps accompagnés pour établir un bilan carbone conforme aux obligations européennes de la CSRD.  La direction a ensuite vu un intérêt stratégique dans ce travail et nous a demandé d’effectuer d’autres analyses plus spécifiques, par produit et site de production. Cet exercice leur a permis d’identifier des best practices. RE Panels  a apprécié notre approche. Pour chaque objectif d’amélioration de l’empreinte carbone, nous avons chiffré le coût, le gain et le montant de l’investissement. Ils ont aussi salué la rigueur de l’alignement sur les standards internationaux, un élément essentiel pour éviter de tomber dans les travers du greenwashing. »

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