Article

24.04.2017

Tout savoir sur les paiements internationaux

De l’Albanie à la Zambie : le Currency Guide de BNP Paribas contient tout ce que vous avez toujours voulu savoir (et bien plus) sur les paiements internationaux, en 132 devises.

420 pages, voilà une brique qui vaut mieux ne pas recevoir sur la tête. Heureusement que le Currency Guide de BNP Paribas est également disponible en ligne. Vous en trouverez ici une version actualisée. Le guide est édité et tenu à jour par le Cash Management Competence Center. En sa qualité de responsable Product Management Cash Management chez BNP Paribas Fortis, Jo Germeys connaît bien les préoccupations des entrepreneurs et des organisations belges. Voilà pourquoi elle estime que ce guide est un outil utile.

« Nous essayons de tenir nos clients informés des changements dans la réglementation ou le paysage bancaires. Mais les entreprises ont tellement d’autres préoccupations que le message ne passe pas toujours. Ce n’est pas forcément une catastrophe, mais cela augmente le risque d'erreurs, de retards et engendre des coûts supplémentaires. Voilà pourquoi le Currency Guide s’avère un outil très précieux. »

Auparavant, BNP Paribas n’éditait qu’une version abrégée de ce guide, reprenant les devises les plus usuelles, mais la dernière version en date est exhaustive et passe en revue toutes les devises par ordre alphabétique et les dispositions qui y sont associées. Chaque devise fait l’objet d’un aperçu sur deux pages qui commence toujours par une série de directives claires à propos de la devise. En parcourant les pages consacrées au dollar canadien, vous apprendrez que les paiements en dollars canadiens doivent non seulement comporter un numéro de facture, mais aussi une description claire, en anglais, du type de paiement. Par exemple : “payment of travel expenses". Outre ces informations standard, vous apprendrez que le format IBAN n’est pas utilisé au Canada. Vous devrez par conséquent mentionner une adresse complète et un code CC avec 9 chiffres. Les 4 premiers chiffres représentent le numéro de routage, les 5 derniers désignent le numéro de transit de la banque. Ensuite, vous bénéficierez aussi d’explications sur la façon dont le paiement doit être formaté.

Alwin Vande Loock (Senior Product Manager International Payments du BNP Paribas Cash Management Competence Center) :

« La plupart des entreprises ne fonctionnent qu’avec quelques devises. Ce n’est donc pas une tâche insurmontable de lire attentivement les informations sur ces devises et d’opérer les ajustements nécessaires. Les logiciels ERP sont souvent paramétrés pour encoder les mêmes données pour tous les pays. Ce qui est donc une source d’erreurs. »

 

Les 5 commandements du paiement international

  1. Ecrivez en toutes lettres
    N’utilisez pas d’initiales ou d’abréviations dans le nom et l’adresse du bénéficiaire.
  2. Soyez complets
    Indiquez clairement le but de votre paiement. Cela peut se faire au moyen d'une description écrite en anglais, d’un code qui indique le motif du paiement, ou d’une combinaison des deux. Un numéro de facture seul ne suffit pas.
  3. Utilisez l’IBAN (ou non)
    Utilisez le format IBAN si nécessaire. C’est, par exemple, le cas pour le lek albanais (ALL) et le franc suisse (CHF). En Australie, l’IBAN n’est pas utilisé. Pour ce pays, vous devez utiliser le code BSB (Direction State Bank) et BIC (Bank Identification Code).
  4. Utilisez l'anglais (et l’alphabet latin)
    Indiquez les informations en anglais, en utilisant l’alphabet latin. N’utilisez pas la langue du destinataire ou votre propre langue.
  5. Faites attention aux décimales
    La plupart des devises acceptent 2 décimales (chiffres derrière la virgule). Il y a des exceptions : le peso chilien ou CLP et la roupie indonésienne ou IDR ne connaissent pas les décimales.
Article

31.05.2021

Optimisez votre besoin en fonds de roulement grâce au factoring

Comment préserver la santé de votre fonds de roulement et faire preuve de la flexibilité financière requise ? Le factoring vous aide à financer vos besoins de liquidités de manière rapide et adaptée.

Conserver suffisamment de liquidités est essentiel pour financer votre besoins en fonds de roulement et assurer le bon fonctionnement de votre entreprise en toutes circonstances. Et c’est précisément ce qu’offre le factoring.Il s’agit d’une solution structurelle visant à optimiser votre besoin en fonds de roulement. En une demi-heure, la vidéo ci-dessous vous montre tout ce qu’il faut savoir sur le factoring.


Une solution sur mesure

En échange de la cession de vos factures à une société de factoring externe, vous pouvez compter sur un financement rapide et flexible, la perception de vos factures est suivie et vous vous protégez contre une faillite éventuelle de vos clients. Chaque solution de factoring est conçue sur mesure afin de répondre parfaitement aux besoins de votre entreprise. Le factoring convient également aux entreprises actives à l’échelle internationale. En Belgique, une entreprise sur six sous-traite actuellement sa facturation à une société de factoring externe, et l'on observe une tendance similaire dans d'autres pays européens.

Comment fonctionne le factoring ? De quelle manière cela vous facilite-t-il la vie ? Comment les prix sont-ils fixés ? Benoît Mélot, Area Manager Wallonie, et Stéphanie Liesens, Head of Sales South BNP Paribas Fortis Factor, répondent à ces questions dans la vidéo ci-dessus. Deux clients partagent également leur expérience.


Vous avez encore des questions ou souhaitez discuter de la manière dont le factoring peut vous aider ? N’hésitez pas à contacter votre chargé de relation ou à nous laisser vos coordonnées dans le formulaire de contact et nous vous recontacterons.
Article

26.10.2018

Comment obtenir automatiquement le meilleur taux de change ?

Les entreprises qui gèrent plusieurs devises n’ont guère envie de prendre des risques avec les taux de change et de s’embarrasser de tracasseries administratives. La banque a élaboré une solution en coulisses : le service « embedded FX ».

Embedded FX ? Ne vous cassez pas la tête à essayer de retenir ce nom, car le système fonctionne de manière entièrement automatique, sans même que vous ayez à y penser. Non, FX n’est pas le nom des derniers effets spéciaux utilisés à Hollywood, c’est tout simplement l’abréviation de Foreign Exchange, aussi parfois appelé Cross Currency. Vous y serez certainement confronté si vous effectuez des paiements internationaux. Ces derniers ne sont pas toujours réalisés dans la devise du compte de débit (ce que l’on appelle les « mono-currency payments », les paiements mono-devises). Il arrive que la devise du paiement du compte à débiter diffère de celle du compte à créditer. Ce sont les paiements FX. Une opération de change se produit durant les paiements : une devise est vendue et une autre est achetée sans que vous ayez à intervenir.

Les volumes sur le marché FX sont peut-être légèrement supérieurs à ce que vous croyez. En réalité, ils sont gigantesques ! Chaque jour, on y échange plus de 5 billions de dollars ! Ce qui équivaut à 5.000 milliards de dollars, soit plus que le marché mondial des actions… en une seule journée. Le marché FX tourne jour et nuit et ne ferme que le week-end, du vendredi 22h au dimanche 22h.

Wim Grosemans (Head of Product Management Payments and Receivables du BNP Paribas Cash Management Competence Center) :

« Sur ce marché FX, les banques jouent en quelque sorte le rôle d’un grossiste : elles achètent et vendent des devises sur le marché international pour ensuite les revendre à leurs clients avec une marge. BNP Paribas est un des plus grands acteurs, elle se trouve dans le top au niveau mondial. Il n’existe pas un taux de marché officiel pour ce marché de gré à gré (OTC ou over-the-counter). Chaque banque détermine le taux auquel elle veut acheter ou vendre des devises. Un taux du marché officieux peut être obtenu dans des publications de certaines institutions publiques (comme la Banque Centrale Européenne) et des organisations privées (Reuters, Bloomberg…). Celles-ci se basent sur le taux moyen proposé par un certain nombre de grandes banques. »

Le taux est toujours fixé par paire de devises (currency pair), par exemple, l’euro contre le dollar américain : EUR/USD = 1,1119. C’est la paire la plus échangée, elle représente en effet 25 % des transactions quotidiennes. En deuxième position, on trouve la paire dollar américain - yen japonais (USD/JPY), avec 18 %. La paire livre sterling - dollar américain (GBP/USD) arrive troisième avec  9 %.

Alwin Vande Loock (Product Marketing Manager Payments and Receivables du BNP Paribas Cash Management Competence Center) :

« En ce qui concerne les taux, les banques offrent différentes options. Le taux peut être un live market rate, un taux de marché mis à jour en continu. Le taux de change de l'euro contre le dollar américain est ajusté, par exemple, plus de 50 fois par seconde. Une autre option peut être un taux quotidien. Dans ce cas, un taux sera applicable durant une période déterminée. »

De nombreuses entreprises ne savent pas où donner de la tête avec toute cette problématique de taux de change. Trop complexe, trop coûteux en termes d'administration et des risques de change trop importants. Pour ces clients, les banques ont une solution : l’embedded FX.

Wim Grosemans (Head of Product Management Payments and Receivables du BNP Paribas Cash Management Competence Center) :

« Lorsque vous effectuez un paiement dans une devise dans laquelle vous ne possédez pas de compte, la banque va collecter immédiatement un taux concurrentiel chez les collègues dans la salle des marchés de la division Global Markets. Normalement, le taux est confirmé dans l’heure qui suit le paiement envoyé par le client. À moins qu'il ne s’agisse de montants importants, l’ensemble du processus se déroule de manière automatique. L’informatique est nettement plus performante qu’il y a quelques années, de sorte que la banque est moins vulnérable à la volatilité des marchés et elle peut offrir un taux concurrentiel à ses clients. Embedded FX est une alternative efficace et simple pour ceux qui ne souhaitent pas ouvrir des comptes dans des devises différentes, avec tous les risques de change que cela comporte. Pour le client, peu importe la devise qu’il utilise : son expérience ne s’en ressentira pas. Et il peut dormir tranquille, il sait qu’il obtiendra d’office un taux compétitif. »

Article

12.09.2018

Fonds de roulement. Bien plus qu’un simple terme de comptabilité

Le fonds de roulement, ou plus précisément le fonds de roulement net global, donne une indication sur la liquidité opérationnelle d’une entreprise. Et bien plus encore.

Mais qu’est-ce qui se cache derrière ce terme de comptabilité ? Un élément déterminant du succès d’une entreprise puisque celui-ci dépend en grande partie de la façon dont elle gère son besoin en fonds de roulement.

Différence entre fonds de roulement et besoin en fonds de roulement

En analyse financière, le fonds de roulement donne une indication sur la liquidité opérationnelle d’une entreprise. De celle-ci dépendent la gestion de l’entreprise mais aussi sa valeur et son accès au crédit bancaire. Le fonds de roulement se calcule comme suit :

Fonds propres et autres capitaux à long terme – actifs immobilisés

Si le résultat est positif, cela signifie que vous disposez de capitaux à long terme suffisants pour financer la chaîne de production. Si le résultat est négatif en revanche, c'est votre chaîne de production qui devra assurer le financement à long terme.

Dès lors, il devient également nécessaire de calculer votre besoin en fonds de roulement :

Actifs circulants (hors trésorerie) – passifs circulants (hors dettes financières)

Le résultat indiquera le montant dont votre entreprise a éventuellement besoin pour financer sa chaîne de production. Il peut être positif ou négatif :

  • Un résultat positif indique que les dettes commerciales de l'entreprise ne sont pas suffisantes pour couvrir ses actifs à court terme (hors actifs financiers). Elle pourra bien-sûr puiser dans son fonds de roulement. Mais si celui-ci s'avère insuffisant, elle aura besoin de ressources financières complémentaires à court terme pour financer son cycle d’exploitation.
  • Un résultat négatif indique que l’entreprise peut sans problèmes faire face à ses dettes à court terme. Il lui reste conseillé de (continuer à) réduire son besoin en fonds de roulement.

En bref, le fonds de roulement est un indicateur de la liquidité opérationnelle d’une entreprise, tandis que le besoin en fonds de roulement représente le montant dont une entreprise a besoin pour financer sa chaîne de production.

Cela revient à dire qu’une entreprise doit limiter autant que possible son besoin en fonds de roulement afin d’améliorer sa liquidité. Il s’agit là d’une nécessité vitale surtout en période économique difficile. Dans ce contexte, les clients ont en effet tendance à payer plus tard alors que vos stocks grossissent et que vos fournisseurs vous imposent des délais de paiement plus serrés. La part de fonds de roulement bloqué dans votre cycle d’exploitation ne fait que grossir alors même qu’il devient de plus en plus difficile de trouver des ressources financières complémentaires.

Conclusion

Optimaliser votre fonds de roulement ne doit pas seulement être une préoccupation à long terme. Vous pouvez, dès à présent, exploiter mieux ou davantage les liquidités se trouvant dans votre entreprise et plus précisément dans les processus d'achat, de production et de vente au sein même de votre cycle d'exploitation.

Votre fonds de roulement et votre besoin en fonds de roulement doivent être en parfaite adéquation. Structurellement, le besoin doit être inférieur au fonds de roulement et il est préférable de se ménager une certaine marge. En réalité, il n'existe toutefois aucune formule mathématique pour déterminer les montants idéaux. Ceux-ci dépendent notamment du secteur, de l'activité et du modèle d'entreprise.

Article

17.08.2018

Pourquoi la facturation électronique devient-elle incontournable ?

Depuis quelques années déjà, l’e-facture possède la même « valeur » que son équivalent papier. Mais la transition vers la numérisation totale du flux de facturation a tendance à s’accélérer car les entreprises y trouvent de nombreux avantages!

Même si la facturation électronique n’est pas obligatoire en Belgique, la digitalisation est en marche. Cette popularité se traduit dans les chiffres (de l’Agence pour la Simplification Administrative - ASA), puisqu’en 2016, 59 % des échanges étaient numériques, réalisant simultanément plus d’un milliard d’euros d’économies en charges administratives. En comparaison, notre pays plafonnait à 20 % de factures digitales en 2011. Depuis lors, de nombreux efforts ont été menés, notamment au niveau de la Commission européenne, afin d’atteindre l’objectif européen de 50 % de facturation électronique à l’horizon 2020. En Belgique, la plateforme www.efacturation.belgium.be a vu le jour depuis quelques années. Depuis 2017, les administrations fédérales montrent l’exemple en adoptant également la digitalisation. Cette année, c’était au tour des autorités bruxelloises de franchir le cap !

Réunir certaines conditions !

Pour être reconnue, une facture électronique doit être émise et reçue sous une forme « électronique », quel que soit le format informatique. En outre, les différentes directives européennes ont édifié 5 conditions pour encadrer les échanges entre les entreprises. Ainsi l’émetteur doit :

  • Obtenir l’accord préalable du client, avant l’envoi de la première facture ;
  • Pouvoir garantir l’authenticité (son identité) et l’intégrité du contenu (c’est-à-dire assurer que le document n’a pas subi de modification) ;
  • Reprendre toutes les mentions obligatoires, comme sur son équivalent papier ;
  • « Délivrer » (soit par e-mail, soit en téléchargement sur une plateforme web) effectivement la facture ;
  • Et, enfin, s’assurer de la lisibilité du document.

Précisons aussi que la facture digitale est valable tant pour les clients professionnels que pour les particuliers (à l’instar de ce que propose, par exemple, Apple).

Le 100 % numérique...

Dans ce contexte, envoyer sa facture papier par e-mail, après avoir scanné le document, peut être considéré comme une forme de numérisation. D’ailleurs, cette approche simplifiée a la cote auprès d’un grand nombre d’entreprises. Mais, pour être réellement avantageux, le concept de « facturation électronique » doit aller bien plus loin qu’un simple courrier électronique avec une annexe. En effet, l’expression consacre en réalité la dématérialisation totale du flux de facturation : de l’édition, sur base de la commande, au processus d’envoi, en passant par l’archivage, les procédures de rappel ou de recouvrement. On parle alors de facture automatisée « end-to-end » ou de facture électronique « pure ». Évidemment, en fonction de la solution informatique choisie, les fonctionnalités sont, plus ou moins, avancées. Du côté de la réception, même si cela dépend de l’approche du fournisseur (et éventuellement de la compatibilité de son système), l’e-facture a également tout son sens.

Des économies, mais bien plus encore !

  • Moins cher : c’est un atout majeur pour franchir le cap de la digitalisation. Selon l’ASA, une facture papier coûte en moyenne 4,44 €, alors que le prix de celle envoyée en pièce jointe d’un e-mail n’est que de 2,02 €. Ce montant diminue encore davantage pour du 100 % numérique : 1,20 €. On peut donc parler de 50 à 75 % d’économies ! Mais en adoptant cette approche digitale, vous encouragez aussi vos partenaires. Et ce n’est pas anodin, car la réception d’une facture papier représente un coût de 8,04 € contre seulement 2,27 € pour sa version électronique… Sans oublier le gain financier en matière d’archivage !
  • Plus simple et efficace : même si l’automatisation requiert toujours un temps de mise en œuvre, voire d’adaptation, les bénéfices sont rapidement visibles. Plus pratique, efficace et rapide : de la commande à l’archivage, tout le parcours de votre facture en quelques clics ! En supprimant la manipulation des documents, vous gagnez donc du temps, mais vous réduisez aussi le risque d’erreurs.
  • Des paiements plus rapides : ce qui n’est pas négligeable pour votre trésorerie. Mieux votre processus de facturation sera rôdé, plus vous augmentez vos chances d’être payé à temps. Mais, plus que cela, grâce à un système digital performant, vous pouvez bénéficier d’un suivi de vos paiements plus efficace, avec des rappels automatisés au moment opportun. Moins de soucis, contre plus d’efficacité !
  • Un pas vers davantage de durabilité : alors que plus d’un milliard de factures sont échangées chaque année en Belgique, la facture électronique est indéniablement plus durable et permet d’économiser à plusieurs niveaux, notamment en consommation de papier et de « déplacements » pour l’envoi. Même si on ne peut plus vraiment parler d’un atout en termes de notoriété, l’inverse — à savoir, continuer à utiliser des factures papier — pourrait être perçu négativement par vos partenaires.

Discover More

Contact
Close

Contact

Pourriez-vous répondre aux questions ci-dessous ? Nous pourrons vous répondre ainsi plus rapidement. Merci d'avance.

Vous êtes indépendant, exercez une profession libérale, démarrez ou dirigez une petite entreprise locale. Rendez-vous sur notre site dédié aux professionnels.

Vous êtes un particulier ? Rendez-vous sur notre site dédié aux particuliers .

Votre entreprise / organisation est-elle cliente de BNP Paribas Fortis ?

Mon organisation est servie par un chargé de relation :

Votre message

Tapez le code indiqué dans l'image :

captcha
Check
La Banque traite vos données à caractère personnel conformément à la Déclaration Vie Privée de BNP Paribas Fortis SA.

Merci

Votre message a bien été envoyé.

Nous vous répondrons dans les plus brefs délais.

Retour à la page en cours›
Top