Elle sévit toujours, fait peur aux consommateurs, aux professionnels et aux responsables de nos entreprises. Elle coûte des milliards. Mais pas assez, dirait-on, pour créer une réelle prise de conscience.

Près de 2 PC sur 3 achetés neufs sont déjà infectés de malwares. 65% de consommateurs (53% au sein de l’UE) et 30% (29% au sein de l’UE) de professionnels font leurs achats en ligne auprès de sources suspectes. 27% des employés (11% pour l’UE) installent leurs logiciels sur leur ordinateur professionnel, ce qui explique que 20% des logiciels piratés se voient téléchargés par les employés eux-mêmes. Ou à leur insu.
Ces chiffres figurent parmi les résultats 2014 des recherches menées conjointement par la Microsoft Digital Crimes Unit, IDC (market intelligence) et l’Université Nationale de Singapour (NUS). Une analyse a été réalisée pour ce faire sur 203 ordinateurs achetés neufs auprès de distributeurs habituels de 11 pays. 1700 consommateurs, travailleurs, CIO et membres du gouvernement ont été interrogés.
Plus d’une centaine de menaces discrètes ont été identifiées sur un an de temps. Exemple : un virus bloquant le fonctionnement de logiciels de sécurité et téléchargeant des fichiers malveillants (malwares, cheval de Troie…).
Ces statistiques sont alarmantes au vu de la hauteur des impacts : les entreprises auraient dépensé en raison des logiciels malveillants et de la violation des données près de 500 milliards de dollars dont deux tiers seraient liés à des organisations criminelles.
Inconscience ?
En négligeant d’installer de mises à jour de sécurité sur leurs ordinateurs, c’est près de la moitié des consommateurs (43%) qui ne se donnent pas les moyens d’éviter ces accidents. Les fonctionnaires interrogés, quant à eux, confessent ne pas bien saisir la relation entre logiciels piratés et malwares.
Les chefs d’entreprise n’y voient guère plus une source réelle de danger si l’on en croit les chiffres : plus d’un employé sur 2 n’est pas audité sur ces questions de sécurité, les failles du réseau informatique ne sont pas recherchées. Néanmoins, le vol de données sensibles, ou un logiciel rançon qui bloque le réseau de l’entreprise, suffisent largement à mettre en péril l’avenir de l’organisation, son image et le maintien de son carnet de commandes.
‘J’ai installé un produit antivirus, je suis en ordre’
Faux, plaident les spécialistes : la sécurité ne se résume pas à l’achat de produits et est un investissement plutôt qu’un coût. Auditer, sauvegarder, former, sensibiliser : c’est une démarche proactive qu’il convient d’adopter plutôt qu’une réaction au premier virus venu. Un état d’esprit à développer chez tout le monde, une sorte d’ ‘assurance complémentaire’ en quelque sorte.
(Sources : L’atelier. Le livre blanc ‘La sécurité informatique’ des PME’ juin 2016)
02.05.2023
Où en sommes-nous sur la voie de la mobilité durable ?
Il ressort d’une enquête sur la mobilité réalisée à la demande de BNP Paribas Fortis que cette question restera un défi important pour les années à venir. La banque est bien déterminée à assumer son rôle.
Une étude sur la mobilité réalisée en novembre 2022 auprès de 2.000 personnes représentatives de la population belge révèle que le passage à la conduite électrique a du mal à se faire. Près de 80% des personnes interrogées roulent encore au diesel ou à l’essence et plus d’un tiers d’entre elles n’ont pas l’intention d’échanger à court terme leur voiture contre un modèle plus écologique. Pourtant, près de 50% des répondants souhaitent rouler en électrique d’ici 2029. Mais plusieurs obstacles devront être surmontés pour atteindre ce niveau. Selon deux tiers des personnes interrogées, la banque doit elle aussi jouer un rôle proactif dans la transition vers une mobilité durable.
- À l’heure actuelle, seuls 10% des véhicules en circulation sont électriques, hybrides ou à hydrogène. Leurs utilisateurs en sont toutefois très satisfaits. Les bornes de recharge publiques constituent un point noir. La plupart des utilisateurs disposent de leur propre borne de recharge. Le climat reste l’argument le plus important en faveur de la transition.
- Changer ses habitudes de mobilité n’est pas si simple. Le passage à l’électrique est lent et il faut davantage d’incitants, comme des mesures fiscales, mais surtout une obligation des pouvoirs publics. Les prix doivent également baisser, et une solution doit être trouvée aux inconvénients d'ordre pratique tels que les temps de recharge et l’autonomie.
- Par conséquent, l’enthousiasme à l’égard des nouvelles initiatives en matière de mobilité est plutôt modéré. Mais une application qui combinerait les solutions de mobilité rencontrerait probablement beaucoup de succès, surtout dans les grandes villes.
- La mobilité et le travail sont étroitement liés. Un travailleur sur trois y consacre au moins une heure par jour. Le télétravail n’est une solution que pour 50% des personnes interrogées, l’autre moitié n’ayant pas la possibilité de travailler même ponctuellement à la maison.
- Le recours aux voitures, bornes de recharge et vélos partagés n’est pas encore ancré dans les habitudes. Il faudra donc encore sensibiliser davantage à la nouvelle mobilité.
Partenaire de mobilité
BNP Paribas Fortis veut absolument continuer à contribuer à une mobilité plus durable et être un partenaire de mobilité tant pour ses clientes et clients professionnels que particuliers. Pour ce faire, nous mettons à votre disposition les bonnes informations sur tous les avantages de la transition écologique. Mais nous vous apportons aussi toute l’aide dont vous avez besoin par le biais de financements, d’assurances et de solutions de leasing. Enfin, grâce à des services innovants, nous voulons offrir une réponse globale aux besoins de mobilité de demain.
02.05.2023
Déplacements professionnels : la montée en puissance du vélo !
Aller travailler à vélo plutôt qu’en voiture ? Cela devient de plus en fréquent. Expert en solutions de mobilité, Philippe Kahn nous explique comment et pourquoi.

Réinventer nos modes de déplacements pour en limiter l’impact environnemental : les comportements commencent à changer et l’utilisation du vélo monte en puissance, y compris et surtout pour les déplacements professionnels. C’est de ça dont nous parle Philippe Kahn, Mobility Solutions Expert chez Arval BNP Paribas Group.
Deux Belges sur trois adeptes de la mobilité douce, et principalement du vélo
Selon l’enquête « Mobility Tomorrow & Beyond » menée par Profacts, deux Belges sur trois ont adopté la mobilité douce. « Mais le grand changement, c’est surtout l’utilisation de plus en plus fréquente du vélo pour les déplacements professionnels et les trajets domicile – lieu de travail. Par ricochet, cela inclut aussi ceux vers l’école ou la crèche, facilités par l’arrivée sur le marché de vélos cargos électriques », précise Philippe Kahn.
Un cadre réglementaire favorable
Mais quels sont les éléments pouvant expliquer ce recours plus fréquent au vélo pour les déplacements professionnels ? « Pointons tout d’abord l’évolution du cadre réglementaire », répond Philippe Kahn. « La création du budget de mobilité fédéral a ouvert les portes d’une mobilité alternative intéressante pour tous les employés et employées. Ce budget permet en effet de choisir un vélo d’entreprise confortable dans le contexte d’un package salarial fiscalement avantageux. Ce budget de mobilité peut d’ailleurs même être utilisé pour couvrir les coûts de votre logement si vous travaillez plus de la moitié du temps à domicile ou si vous habitez dans un rayon de 10 km de votre lieu de trav ail. Il est donc par exemple possible de remplacer une voiture d’entreprise par un mix vélo électrique et intervention dans ces frais de logement. Par ailleurs, deux mesures effectives depuis le 1er mai 2023 devraient encore renforcer cette tendance : la hausse de l’indemnité vélo pour les trajets domicile – lieu de travail qui passe à 27 cents nets par km parcouru, mais aussi l’extension du droit à cette indemnité à tous les salariés belges. Concrètement, cela signifie que ceux et celles qui choisissent le vélo pour ces déplacements en sont désormais récompensés de manière substantielle.»
Les investissements dans les infrastructures publiques portent leurs fruits
Un autre élément important explique l’utilisation accrue du vélo : l’évolution des infrastructures routières. Philippe Kahn : « Ce qui peut vous convaincre de prendre le vélo pour vous rendre au travail, c’est la certitude d’effectuer votre trajet en toute sécurité. Il y a quelques années, le trajet à vélo pour aller par exemple travailler à Bruxelles pouvait s’avérer périlleux. Mais aujourd’hui, les infrastructures dédiées aux cyclistes rendent ces trajets de plus en plus sûrs, notamment grâce aux autoroutes cyclistes sur lesquelles ne circulent que des vélos. Outre la Flandre et ses grandes villes, les investissements dans les infrastructures sont à présent une réalité dans le reste du pays. Ces dernières années, Bruxelles a connu des changements significatifs, et les choses commencent aussi à bouger en Wallonie ».
Un Belge sur deux habite dans un rayon de 15 km de son lieu de travail
La distance à parcourir pour se rendre au travail joue aussi un rôle crucial dans l’attractivité du vélo. « Un Belge sur deux habite à maximum 15 km de son lieu de travail, une distance que l’on peut facilement parcourir à vélo », ajoute Philippe Kahn. « L’évolution des infrastructures couplée à cette réalité fait qu’enfourcher son vélo pour ses déplacements professionnels est une option tout à fait réaliste pour beaucoup de Belges. Et l’indemnité de 27 cents par kilomètre va en prime encore plus les encourager à franchir le pas. »
Le budget de mobilité fédéral, c’est quoi ?
Ce dispositif permet de répartir entre trois piliers le budget initialement alloué à la voiture de société dans un package salarial. Ces trois piliers sont :
- une voiture émettant pas ou peu de CO2 (moins de 95 g/km), comme un véhicule électrique ;
- des moyens de transport durables, et notamment le vélo, mais aussi dans certains cas la prise en charge des frais de logement, comme le loyer ou le remboursement d’un prêt hypothécaire ;
- le solde du budget mobilité versé en cash.
Ce mécanisme du budget de mobilité permet par exemple d’abandonner un véhicule de société thermique au profit d’une voiture électrique et d’un vélo, et ceci aux mêmes conditions fiscalement avantageuses, tant pour l’employeur que pour l’employé ou l’employée.
78% des vélos en leasing professionnel sont électriques
Pour répondre aux besoins des entreprises et de leur personnel, Arval a intégré dans son offre le leasing de vélos. Ce leasing « full services » couvre entre autres l’entretien, le dépannage, les assurances ou encore les réparations, comme cela se fait traditionnellement pour une voiture. Et c’est aussi l’occasion pour Philippe Kahn de pointer des tendances très significatives. « 60% d’e-bikes et 18% de Speed Pedelecs : au total, 78% de nos vélos d’entreprise utilisés en leasing sont électriques.
On remarque aussi très clairement le succès des vélos haut de gamme, avec un coût qui s’élève à plusieurs milliers d’euros, par exemple des vélos cargos électriques. Pourquoi ce succès ? Sans doute par opportunité : le budget mobilité ou le plan cafétéria de l’employeur permet d’acquérir de telles machines. Mais c’est peut-être aussi une conséquence des spécificités de notre réglementation fiscale : cet incitant fiscal sera d’autant plus significatif que le vélo sera cher. Autre observation intéressante : lorsque le vélo remplace un véhicule automobile, il s’agit généralement de la deuxième voiture de la famille. On n’assiste donc pas encore à un remplacement radical de l’auto par le vélo, mais l’apparition du vélo d’entreprise permet dans tous les cas de réduire le nombre total de kilomètres parcourus en voiture. »
Les applications digitales pour mettre le grand braquet
Pour conclure, Philippe Kahn pointe un dernier élément susceptible d’aider le vélo à s’imposer comme mode de déplacement professionnel. « Je pense que la technologie, et en particulier les applications digitales, peuvent changer beaucoup de choses. On peut s’attendre à ce que ce marché d’applications dédiées aux déplacements cyclistes professionnels se développe fortement. Déjà maintenant, le business model de la location de vélo électrique ‘on the go’ se base sur une application pour smartphone. Imaginez donc le succès que pourrait avoir une application permettant d’obtenir un itinéraire ‘bike friendly’, sûr et adapté au vélo pour les trajets professionnels, et le nouveau coup d’accélérateur que ça pourrait induire pour ce type de déplacements ? » conclut Philippe Kahn.
17.02.2023
Biométhane du Bois d’Arnelle : le biogaz wallon, chaînon de la transition énergétique
Produire du biogaz grâce à la fermentation de déchets agricoles ? Cela se passe chez Biométhane du Bois d’Arnelle, l’unité de production la plus importante de notre pays située dans le Hainaut.
Trois vastes dômes gris et un toit conique s’élèvent désormais dans la campagne hennuyère, à Frasnes-lez-Gosselies. Il s’agit d’une unité de production de biogaz. Son créateur et patron, Jérôme Breton, a mis 12 ans à faire aboutir ce projet, faute de cadre légal et administratif. Mais aujourd’hui, l’unité tourne et produit 70.000 MWh d’énergie.
Transformer les déchets agroalimentaires en biométhane
« Nous recyclons des déchets agroalimentaires et des matières agricoles, effluents d’élevage, pailles, feuilles de betterave, épluchures, etc. provenant d’un rayon de 15 km autour du site », lance Jérôme Breton. « Nous travaillons avec une centaine d’agriculteurs pour qui cela représente un revenu complémentaire. Dans les digesteurs, des cuves en béton chauffées à 40°C, les bactéries digèrent la matière et produisent du biogaz, constitué à 45 % de CO2 et à 55 % de CH4 méthane. C’est ce biométhane que nous récupérons par filtration, avant de l’injecter dans le réseau de distribution de gaz naturel. La matière fermentée ou digestat, un liquide noir riche en matière organique, très nutritif pour les cultures, est épandu comme engrais dans les environs, où il permet de stocker durablement du CO2 dans les sols et remplace complètement les engrais chimiques. »
Un rendement imbattable
Environ 15% du biogaz est transformé en électricité et en chaleur dont la moitié servent aux besoins propres de l’unité. Les 85% restant sont épurés pour former le biométhane. Une fois injecté dans le réseau, ce biométhane peut être utilisé comme carburant, combustible, ou encore comme matière première pour la pétrochimie. Il peut aussi faire tourner des turbines, et la chaleur générée peut être récupérée, comme sur le moteur d’une voiture. « Alors qu’un moteur de cogénération, qui produit simultanément électricité et chaleur, a un rendement total allant de 40 à 80%, notre système permet d’injecter dans le réseau 99,5% du biogaz produit », calcule le jeune exploitant. « Dans un réseau de distribution, la pression varie. L’infrastructure peut ainsi absorber des injections sans aucun besoin d’investissements supplémentaires pour les stocker. »
Cultiver pour valoriser
L’entreprise cultive également maïs, betteraves et céréales pour les valoriser en biogaz : « nous avons fait le choix délibéré de cultiver 600 hectares de cultures énergétiques pour apporter une voie de diversification complémentaire aux agriculteurs. Cela représente 30 % de notre matière première. Cette récolte est stockée pour nous permettre de ‘lisser’ les apports dans nos digesteurs, qui dépendent de l’activité agricole et agroalimentaire, par nature saisonnière. »
BNP Paribas Fortis, la seule banque à disposer de compétences aussi pointues
Pour Jérôme Breton, le projet n’aurait pu voir le jour sans le soutien de BNP Paribas Fortis. « Nous n’aurions pas obtenu les financements sans le travail de leur expert. C’est la seule banque qui dispose, en interne, de compétences aussi pointues. Les analyses et éléments qu’il nous a fournis ont d’ailleurs servi à tous les autres partenaires ! Une relation de confiance forte s’est tissée, et perdure aujourd’hui. Dans mon modèle, je ne voulais pas travailler et vivre sous perfusion d’argent public, et dans le même temps je souhaitais produire à prix corrects. Nous produisons et vendons notre biométhane à 100 euros le mégawatt/h, alors que les prix sur le marché ont frôlé 350 euros en août dernier. »
Succès d’entrepreneurs
Chez BNP Paribas Fortis, nous sommes particulièrement fiers de soutenir des entrepreneurs passionnés et inspirants. Car construire ensemble l'entrepreneuriat de demain, c'est ça aussi le Positive Banking !
15.02.2023
Elessent EMEAI : des solutions pour produire plus propre
Rendre l’industrie chimique plus respectueuse de l’environnement et plus durable : c’est ce que fait Elessent EMEIA grâce à des méthodes innovantes et des process de production plus propres.

« Notre mission est de créer des process de production plus propres et décarbonés pour nos clients. L’innovation se trouve donc au cœur de notre activité », explique d’emblée Sara Alvarez, Finance Manager auprès d’Elessent EMEAI. « Ce sont des alternatives moins polluantes aux méthodes industrielles traditionnelles. Cela permet à nos clients de continuer à élaborer des produits indispensables à nos vies de tous les jours tout en minimisant fortement leur impact sur l’environnement, notamment pour les polluants et les émissions de CO2. »
4 technologies phares
Les industries des métaux, des fertilisants, de la chimie et de la raffinerie constituent l’essentiel des clients de l’entreprise, capable de livrer des sites de production entiers clé en main. « Tjaart Van Der Walt, Director d’Elessent EMEAI : « nous disposons de quatre technologies phares. La première concerne la fabrication d’un composé extrêmement utilisé dans l’industrie, des fabricants d’engrais aux usines de pigments : l’acide sulfurique. On l’obtient par la combustion de soufre. Notre expertise de 90 ans dans ce domaine couvre la conception de sites - nous en avons livré plus d’un millier - et de process ainsi que la récupération d’énergie. Ces procédés seront essentiels à la production de batteries plus propres. »
De la qualité et du rendement en plus
La société détient également des technologies d’alkylation (une réaction couramment utilisée en chimie organique), permettant de produire des carburants à haut indice d’octane, qui rendent certains moteurs plus efficaces. Ces composés sont précieux pour les secteurs de la pétrochimie et de la raffinerie. « Nous opérons sur plus d’une centaine de sites d’alkylation dans le monde », continue Tjaart Van Der Walt. « Et 25 sites d’hydrotraitement des hydrocarbures. Il s’agit là d’une étape cruciale du raffinage du pétrole, qui en ôte certains éléments, réduisant par exemple la teneur en soufre et en azote, pour en améliorer la stabilité. Notre technologie exclusive d’hydrocraquage doux permet de récupérer plus de valeur du pétrole brut. »
À ces procédés permettant d’optimiser la qualité et le rendement d’hydrocarbures, l’entreprise ajoute des technologies dites de « lavage humide », très performantes dans le traitement des fumées.
Un soutien financier et une vraie expertise de notre secteur
« Nos activités se développent à l’échelle globale. Pour accompagner notre expansion internationale, nous avons besoin du soutien constant de notre banque, BNP Paribas Fortis, qui en plus des aspects financiers, apporte son expertise poussée de notre secteur », relate Sara Alvarez. « Cette coopération est par exemple cruciale au Maroc, en Tunisie, en Inde et en Afrique du Sud. Pour nos investissements de long terme dans ces pays, nous bénéficions des conseils de notre banque, notamment en matière de moyens et garanties de paiement : transactions sécurisées, lettres de crédit, etc. Idem pour la couverture du risque de change, essentielle dans le contexte actuel de volatilité. Ce partenariat nous permet de poursuivre notre expansion internationale. »
Succès d’entrepreneurs
Chez BNP Paribas Fortis, nous sommes particulièrement fiers de soutenir des entrepreneurs passionnés et inspirants. Car construire ensemble l'entrepreneuriat de demain, c'est ça aussi le Positive Banking !
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