BNP Paribas Fortis est la première banque en Belgique à lancer un Hedge vert. Grâce à son Hedge vert, elle permet aux clients d'intégrer en profondeur leurs objectifs durables dans leur gestion d'entreprise.
La durabilité est aujourd'hui ancrée dans la mission de pratiquement toutes les entreprises. Les entreprises prennent de nombreuses initiatives écologiques et financent des investissements durables au moyen de prêts verts. BNP Paribas Fortis va encore plus loin en offrant à ses clients la possibilité de donner un côté durable à la couverture du risque de financement par le biais d'un Hedge vert.
Primeur belge
La première couverture de taux verte en Belgique est un fait. « Nous sommes heureux et fiers d'avoir pu réaliser cette première avec Katoen Natie en tant que véritables partenaires », explique Filip Moens, responsable Corporate Solutions de la salle des marchés chez BNP Paribas Fortis. « Katoen Natie avait déjà contracté un prêt vert chez nous et souhaitait couvrir le risque de taux d'intérêt en passant d'un taux variable à un taux fixe via ce que l'on appelle un swap de taux d'intérêt. Au lieu d'opter pour une couverture de taux ordinaire, nous y avons lié des conditions vertes supplémentaires. Katoen Natie renforce ainsi son engagement durable. »
Chez Katoen Natie, il s'agissait d'un swap de taux d'intérêt, mais un Hedge vert peut tout aussi bien être appliquée à un risque de change ou d'inflation. De plus, il n'est pas obligatoire d'avoir déjà un prêt vert.
Filet de sécurité durable
Le Hedge vert stimule la durabilité, mais va encore plus loin et prévoit un filet de sécurité vert. Si les conditions prédéfinies ne sont pas remplies, le clientpaieune prime de durabilité. BNP Paribas Fortis ne perçoit pas cette prime elle-même, mais l'investit dans un projet écologique préalablement défini. « Chez Katoen Natie, nous avons par exemple opté pour un projet de plantation d'arbres. L'effet de ce produit est donc double. D'une part, c'est un stimulant pour le client de respecter réellement son engagement écologique. Mais si cela ne fonctionne pas pour l'une ou l'autre raison, la prime supplémentaire payée est affectée à un projet vert. Une situation gagnant-gagnant pour l'environnement », explique Filip Moens.
À la mesure de votre entreprise
« La force de ce produit réside dans son application au sens large », souligne Filip Moens.
« Les entreprises sans prêt vert, qui veulent intégrer davantage de durabilité dans leur culture d'entreprise, peuvent vraiment concrétiser cette ambition grâce au Hedge vert. Les conditions vertes qui y sont liées sont en effet déterminées de commun accord. Tant qu'elles sont suffisamment ambitieuses, réalisables et mesurables, beaucoup de choses sont possibles. Pensez par exemple au fait de passer à 80 % d'énergie renouvelable, de rendre le parc automobile 100 % électrique en cinq ans, ou encore de collecter les détritus lors d'un teambuilding annuel. Les entreprises peuvent définir des conditions qui correspondent parfaitement à leur culture d'entreprise. Il en va de même pour le projet de back-up que nous finançons si les conditions ne sont pas remplies. Là encore, les entreprises peuvent opter pour un projet local qui leur tient à cœur. »
Pas de promesses vaines
Un Hedge vert renforce les projets verts existants et souligne très concrètement un engagement vert actif. C'est donc bien plus qu'une simple question d'image. « Ce produit intègre la durabilité en profondeur dans la gestion de l'entreprise et requiert un engagement sérieux et concret de la part du client », explique Filip Moens. « Il doit vraiment être motivé à agir en faveur de l'environnement. Il convient d'examiner quelques aspects administratifs, comme un rapport d'évaluation annuel et des contrôles externes. Mais avec ce choix vert, le client fait bien la différence. »
BNP Paribas Fortis veut contribuer positivement aux projets et à la croissance des entreprises en tant que véritable partenaire. Le Hedge vert correspond à l'état d'esprit durable actuel des entreprises et s'inscrit parfaitement dans la stratégie de la banque : construire avec les clients un avenir positif, durable et pur.
14.01.2020
Le partenaire central de votre révolution durable ? Votre banque !
Pourquoi une banque s’investit-elle dans la durabilité ? La question est légitime… et la réponse évidente : les entreprises — ses clients — ont plus que jamais besoin de soutien pour réussir leur transition.
« Il n’y a pas de plan B, car il n’y a pas de planète B », déclarait Ban Ki-moon lors de la semaine du climat de New York en septembre 2014. La formule de l’ancien Secrétaire général des Nations unies a marqué les esprits, car elle résume parfaitement la situation : agir est la seule issue. Un impératif qui exige que tout le monde apporte sa pierre à l’édifice du changement. La banque n’échappe pas à la règle ! D’abord pour une raison évidente : ses clients sont précieux et elle doit veiller à ce qu’ils soient performants… et le restent. Un intérêt commun, essentiel pour aider les entreprises à emprunter la voie de la durabilité. Mais le rôle de la banque va bien au-delà.
Une position… au cœur du « jeu »
Selon l’ONU, la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) à l’horizon 2030 exigera des investissements colossaux : de l’ordre de 5 000 à 7 000 milliards de dollars par an. Qui mieux que le secteur financier pour relever ce défi ? La banque « connaît » et soutient l’ensemble des acteurs en présence : du secteur public à la santé et à l’enseignement, en passant par les PME, les corporate, les start-up, les ONG ou encore les particuliers. Positionnée au cœur de l’activité économique, elle est plus que jamais un moteur fondamental du changement. Sa mission ? Soutenir la transformation de l’ensemble de la société, et en particulier la transition durable des entreprises, afin de contribuer à répondre aux enjeux environnementaux.
Trois piliers de la banque « durable » :
- L’expertise : une banque ce ne sont pas que des banquiers !
- partager la connaissance et la compréhension autour de la durabilité, du changement climatique, des défis environnementaux, de la transition écologique, etc. ;
- Insuffler, soutenir et conduire la réflexion stratégique au sein des structures ;
- Comprendre et analyser la faisabilité technique d’un projet dans n’importe quel domaine d’activité : nouvelles technologies, décarbonisation, sciences de la vie, économie circulaire, smart cities, etc.
- Des moyens : financer le changement et son accélération
- Du réseau : à la recherche d’un partenariat ?
- Le partage d’expériences ;
- La diffusion de bonnes pratiques ;
- La mise en lumière de solutions innovantes… contribuant in fine à rendre certaines nouvelles technologies « durables » accessibles financièrement au plus grand nombre ;
- L’amplification de projets qui fonctionnent correctement à une petite échelle pour les aider à franchir un cap et atteindre une échelle supérieure.
L’action de la banque passe inévitablement par le conseil. Au fil des années, elle s’est dotée de véritables experts du « durable »… Leur rôle ? Sensibiliser les entreprises sur la nécessité de se transformer et les accompagner tout au long de la transition. En d’autres mots ? Aider les dirigeants à comprendre les risques de l’immobilisme et à saisir les opportunités issues d’une mutation optimale de business model. Une mission qui s’adapte forcément aux besoins et à la maturité de chaque acteur économique. Cela se traduit entre autres par :
La voie de la durabilité exige des investissements importants… La banque est le partenaire idéal pour prendre en compte la dimension financière de toute réflexion stratégique. Après un accompagnement orienté sur les aspects « techniques », le rôle de la banque consiste donc à valider les perspectives établies et à appuyer les dirigeants dans la modélisation du volet financier. Autrement dit : quels moyens sont nécessaires ? Quels sont les véhicules de financement adaptés ? Une approche qui garantit un maximum de sécurité à la transition, puisque les risques, notamment financiers, sont pris en compte dès le départ. Une autre mission importante de la banque ? Jouer un rôle de catalyseur pour aider les entreprises — déjà avancées dans leur processus durable — à passer à une échelle supérieure.
Le réseau est l’une des clés de la transition durable… Et qui mieux que la banque pour connecter tous les acteurs entre eux ? Le networking est donc fondamental sur plusieurs points :
vous accompagnent tout au long de votre transition durable.
N’hésitez pas à prendre contact avec eux !
28.01.2020
Des experts de la durabilité… dans votre banque
Le train de la durabilité est en marche. Pour vous aider à monter à bord ? Le SBCC : un pôle de compétences en business durable au sein de votre banque. Découvrez cette équipe de spécialistes passionnés…
Votre banque est le partenaire clé de la transition durable de votre entreprise. Et pour cause : elle est au cœur de l’activité économique. Une position idéale pour vous conseiller et vous accompagner tout au long de votre parcours. C’est aussi l’acteur capable d’intégrer la dimension financière à votre projet de transformation ainsi que de vous connecter à un vaste réseau. Une mission pluridisciplinaire capitale, portée par des experts… qui sont bien plus que des banquiers !
Le SBCC : un pôle d’experts
Ces quatre lettres désignent le « centre de compétences en business durable » au sein de votre banque. Une équipe totalement dédiée à la durabilité ; composée de dix experts venus d’horizons différents et disposant de compétences complémentaires, mais qui portent une passion et une mission commune : contribuer à la transformation durable de la société. La diversité des profils est l’un des atouts du SBCC : des ingénieurs et des spécialistes en business development qui mettent au service des entreprises…
- une expertise technique portant sur quatre grands domaines : la décarbonisation, l'économie circulaire, le capital humain et les smart cities ;
- des connaissances entrepreneuriales approfondies, notamment en matière d’analyse, de changement et de développement de business model ;
- des expériences et des parcours multiples (communication, secteur financier, change management, etc.) ;
- une démarche scientifique qui leur permet d’approcher et de creuser tout type de sujet ;
- une vision claire sur les solutions financières et non financières adaptées à chaque projet ;
- la capacité de connecter les acteurs entre eux au sein du réseau (organisations interprofessionnelles, entreprises, institutions publiques, ONG, fonds d’investissement thématiques, etc.).
Une vision holistique de la transition
La mutation vers une économie durable est un sujet complexe et multifacette. C’est pourquoi le SBCC l’appréhende de manière globale afin de prendre en compte toutes ses dimensions (financière, humaine, naturelle, technique, etc.). Cette approche holistique est une carte maîtresse de la transition des entreprises… de votre entreprise. Concrètement, l’action du SBCC s’adapte au degré de maturité de chaque projet :
- En amont :
- Approcher et engager le dialogue avec tous les acteurs économiques afin d’accélérer leur prise de conscience et les aider à identifier les premiers pas du changement ;
- Conseiller et accompagner ces entreprises dans leur compréhension du monde de demain… où tout est encore à construire ;
- En aval :
- Comprendre (et apprendre avec) les projets innovants portés par des entreprises déjà avancées dans la voie de la durabilité. Des initiatives qui consacrent de nouveaux business models ou de nouvelles technologies et qui gagnent à être soutenues et partagées ;
- Guider ces projets durables dans leur parcours financier, car ils sont souvent exigeants sur le plan du financement : que ce soit pour initier la transformation ou pour passer à une échelle supérieure.
Une mission… et une passion commune
« Personne ne peut gagner dans un monde qui perd ! » Chaque projet fait donc partie de la solution. Toutes les entreprises doivent se transformer pour faire des affaires de forme plus durable. Un nouveau paradigme… bien compris par le SBCC. Le point de départ de sa mission : construire une compétence sur tous les sujets liés aux enjeux de la durabilité et contribuer à déployer des solutions (financières ou non). Un défi majeur… qu’une banque se doit de relever. L’objectif est clair : insuffler le changement et démontrer que des solutions existent au sein du système actuel. Il est possible de continuer à faire des affaires tout en transformant son secteur d’activité. L’urgence impose de se lancer et de ne pas attendre que le monde change tout seul. Autrement dit ? Anticiper l’avenir et apporter sa pierre à l’édifice d’un avenir plus durable.
Prêt à entamer ou poursuivre vos transition durable ?
Prenez contact avec nos experts du SBCC sans plus attendre !
11.09.2024
Découvrez nos options de leasing et laissez-vous séduire par notre TopDeal
Vous souhaitez louer une voiture de société, mais sans vraiment savoir ce que vous avez comme possibilités ? Nous vous expliquons quelles sont vos différentes options, pour choisir le type de leasing qui vous convient le mieux. Et jusqu’au 30 novembre 2024, vous pouvez aussi profiter d’un TopDeal de notre partenaire Arval pour les nouvelles BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électriques à un prix tout compris très avantageux.
Leasing financier ou opérationnel ?
Pour le leasing financier comme pour le leasing opérationnel, c’est la même logique qui s’applique : vous payez un loyer à une société de leasing pour une période donnée, généralement quatre ou cinq ans. Dans les deux formules, la société de leasing est le propriétaire légal du véhicule. Mais vous disposez d’une option d’achat à la fin du contrat. Dans le cas d’un leasing financier, le montant de l’option d’achat est connu dès le début du contrat. Dans le cas d’un leasing opérationnel, le montant est déterminé à la fin du contrat sur la base de la valeur de marché de la voiture.
La formule « services compris »
C’est l’un des grands avantages du leasing opérationnel par rapport au leasing financier : les taxes, l’assurance (omnium), l’entretien et les charges (sauf le carburant) sont compris dans le loyer. De plus, vous bénéficiez de services supplémentaires tels que des pneus été et hiver, un service de dépannage et un véhicule de remplacement. Autrement dit, vous payez un certain montant tous les mois, et tout est réglé pour vous. Bref, vous roulez sans avoir à vous soucier de quoi que ce soit : tout est payé, sauf le carburant.
Quelles conséquences fiscales ?
L’option d’achat a des conséquences fiscales : dans le cas d’un leasing financier, vous amortissez le bien d’investissement et vous déduisez fiscalement les intérêts. Le véhicule est comptabilisé à l’actif de votre bilan. Avec un leasing opérationnel, vous déduisez la totalité du montant de la location au titre de frais. Dans les deux cas, des plafonds de déduction fiscale s’appliquent et vous devrez peut-être tenir compte de l’utilisation professionnelle de la voiture. Sans oublier que la TVA est payée mensuellement sur le loyer et donc pas en une seule fois. Cela vous permet de préserver vos lignes de crédit pour d’autres investissements.
Laissez-vous séduire par notre TopDeal
Nous proposons une offre exceptionnelle jusqu’au 30 novembre 2024 : vous pouvez louer la nouvelle BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électrique dans le cadre d’un leasing opérationnel à un prix avantageux et exclusif, tous services compris.
Envie d’en savoir plus ? Vous trouverez tous les détails sur cette page
Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire en assurances à titre accessoire, inscrit auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.
04.09.2024
Arval : de la mobilité, privée et professionnelle
De nombreux collaborateurs voient aujourd’hui la mobilité comme une nécessité qu’ils abordent avec leur employeur. Depuis longtemps déjà, ils ne se déplacent plus exclusivement en voiture. Ils combinent de plus en plus souvent plusieurs solutions de mobilité, privées, publiques et mixtes. Les entreprises belges sont donc de plus en plus en demande de know-how pour mettre au point le mix parfait de mobilité, adapté à la fois à leurs besoins professionnels et à ceux de leur personnel. Les spécialistes en mobilité d’Arval expliquent comment évolue la mobilité et comment ils tiennent compte de cette évolution. Et pour cela, il faut non seulement les bonnes connaissances, mais aussi disposer d’un package d’accompagnement grâce auquel ils peuvent vraiment aider les employeurs.
Philippe Kahn, Mobility Solutions Expert, résume la vision et la mission d’Arval : « Life is a journey made of journeys. Chez Arval, nous traduisons ceci en nous demandant constamment comment soutenir et soulager les petites, moyennes et grandes entreprises pour toutes leurs questions de mobilité. Et dans notre ADN de facilitateur, il y a deux aspects importants qui apportent de la valeur : la mobilité personnelle et la mobilité durable*. De l’indépendant en personne physique à la grande entreprise : Arval met son know-how corporate au service de toutes et tous en veillant toujours à proposer une solution globale tout-en-un. »
*La mobilité durable : une mobilité moins émettrice en gaz à effets de serre, qui promeut l’électrification, la mobilité douce et/ou les transports en commun.
La mobilité durable, une évidence
Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises jouent pleinement la carte de la mobilité durable, ou évoluent dans cette direction. Cela implique non seulement de se tourner vers les voitures électriques, mais aussi de s’ouvrir aux nouvelles solutions de mobilité. Et dans ce contexte, Arval doit informer ses clients et les accompagner dans leurs ambitions de mobilité durable. De nouvelles solutions de mobilité comme Arval Bike Lease, Arval Car Sharing et le futur outil de gestion du budget sont pour de nombreuses entreprises la clé pour faire évoluer leur mobilité dans le bon sens.
Un atout dans la « guerre des talents »
Par ailleurs, toutes ces solutions ne sont pas que de simples options de déplacement : elles s’intègrent aussi dans le concept HR mis en place par les entreprises dans leur « guerre des talents ». Philippe Kahn et Arval travaillent de plus en plus souvent avec des entreprises qui veulent se positionner sur ces enjeux de mobilité. Elles estiment que c’est une belle occasion de renforcer le lien avec leurs équipes ou d’attirer de nouveaux talents.
Philippe Kahn : « Beaucoup d’entreprises tiennent par exemple compte de la mobilité pour choisir l’endroit où elles s’implantent. Elles cherchent à être proches d’un centre de mobilité, par exemple une grande gare comme Bruxelles-Central ou Anvers-Berchem. Ça leur permet de proposer à leurs collaborateurs un mix complet de solutions de mobilité : vélo ou trottinette partagée pour aller au travail, voiture de pool ou train pour leurs déplacements, bus et voitures partagées… Et ils financent le tout avec le budget mobilité qu’ils reçoivent de leur employeur. »
De la valeur ajoutée sur le plan professionnel et personnel
L’outil de gestion du budget grâce auquel les entreprises gardent un œil sur toutes les solutions de mobilité utilisées par leurs collaborateurs et leur coût, n’est qu’une petite partie de la valeur ajoutée d’Arval pour les entreprises. La consultance en mobilité fait aussi partie intégrante de son offre pour les entreprises.
Philippe Kahn : « Imaginons qu’une entreprise d’environ 100 collaborateurs envisage de déménager dans le centre d’Anvers. Nous allons définir avec elle quelles sont les nouvelles solutions de mobilité dont elle aura besoin et leur coût total. Nous travaillerons donc en intégrant vraiment l’équipe et nous analyserons ensemble l’impact futur des différentes solutions de mobilité. C’est un travail sur mesure qui nous permet de mettre notre expertise au service de nos clients. »
Cette expertise permet souvent aux entreprises de progresser dans leur gestion d’entreprise, mais aussi dans celle de leurs équipes. Philippe Kahn : « Le temps du fichier Excel où on tenait à jour l’utilisation de la voiture de pool est révolu. Les applications pour smartphone ou PC rendent tout plus facile et plus fluide. Elles localisent les voitures de pool des différents sites, et assouplissent la frontière entre voitures de pool et voitures partagées. Ainsi, pendant le week-end, les collaborateurs ont la possibilité d’utiliser à des fins privées – et contre paiement – la voiture qu’ils utilisent pour leurs déplacements professionnels. L’accompagnement standard lié au leasing d’un vélo électrique fait aussi partie de notre offre. A cet égard, Arval facilite la vie des employeurs tout en leur permettant aussi de proposer des solutions à leurs collaborateurs pour leur mobilité privée. Les entreprises vont ainsi vraiment faire partie de la vie quotidienne de leurs collaborateurs, via leur dossier de mobilité. »
Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire d’assurance à titre accessoire enregistré auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.