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21.03.2017

Créer de nouvelles entreprises spécialisées en technologies de pointe

Tel est l’objectif du fonds imec.xpand créé par le centre de recherche Imec. Depuis son lancement en février, le fonds a déjà récolté 60 millions d’EUR. BNP Paribas Fortis figure parmi les investisseurs.

Afin de concrétiser son ambition, Imec est parvenu à attirer de nombreux investisseurs tant privés que publics, parmi lesquels BNP Paribas Fortis, Samsung, Applied Materials (fabricant d’équipements pour la production de puces électroniques), les universités de Gand et de Louvain et la Société Fédérale de Participations et d’Investissement (SFPI).

Une structure unique

Imec.xpand se distingue des autres accélérateurs par sa structure unique : le fonds combine l’expertise, la vision et l’infrastructure d’Imec dans le domaine de la nano-électronique et des technologies numériques, avec les idées et l’expertise technologique d’investisseurs stratégiques comme Samsung et Applied Materials.

"Grâce à cette spécificité, le fonds dispose de tous les atouts nécessaires pour créer de nouvelles entreprises spécialisées en technologies de pointe", explique Mireille Kielemoes (Fund Investments – BNP Paribas Fortis Private Equity). "C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles BNP Paribas Fortis a décidé de se lancer dans l’aventure. Non seulement cette initiative apportera, à terme, de la valeur ajoutée, mais elle s’inscrit aussi parfaitement dans la stratégie de la banque, soucieuse d’investir dans l’innovation et  l’entrepreneuriat de demain."

Pour préserver son indépendance, l’équipe dirigeante d’imec.xpand prend ses décisions de manière totalement autonome.

Focus sur les applications intelligentes

Imec.xpand se concentre sur des projets innovants basés sur la nano-électronique dans différents domaines d’application, comme les soins de santé, les villes intelligentes et la mobilité, la logistique et l’industrie 4.0, ainsi que l’énergie.

"Le développement d’applications intelligentes de ce type est très gourmand en capitaux", explique Mireille Kielemoes. "C’est pourquoi le fonds fournit aux entreprises les moyens financiers nécessaires au cours des différentes phases des projets : de la recherche et développement à la commercialisation du produit final. Le business plan d’imec.xpand est conçu de telle sorte que le fonds puisse garantir l’ensemble du cycle de financement des projets sélectionnés."

Pour ce faire, le fonds souhaite, à terme, rassembler 100 millions d’EUR. Un objectif ambitieux  à l’image de ce fonds et de ses créateurs !

En savoir plus sur Imec

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16.12.2024

« La fracture numérique a la vie dure »

« Les personnes âgées, mais aussi les jeunes et les actifs manquent de compétences numériques », explique Linde Verheyden, Director Public Affairs chez BNP Paribas Fortis et présidente de DigitAll.

Malgré la digitalisation croissante, de nombreuses personnes sont laissées sur le carreau. En Belgique, 40% de la population âgée de 16 à 74 ans est exposée au risque d’exclusion numérique. Si les personnes âgées sont souvent considérées comme le groupe le plus vulnérable, il s’avère que les jeunes ont aussi des difficultés avec le numérique. Près d’un tiers des jeunes de 16 à 24 ans ont des compétences numériques faibles, avec un pic de 52% chez les jeunes peu diplômés.

Ce sont des chiffres plutôt surprenants. Les jeunes sont quand même nés avec des outils numériques ?

« On dit souvent que les jeunes sont « digital natives » parce qu’ils savent utiliser les réseaux sociaux. Mais créer une vidéo TikTok ou scroller sur Instagram ne signifie pas que l’on est capable d’effectuer des opérations bancaires en ligne ou de remplir un formulaire de candidature. »

La pauvreté joue aussi un rôle important dans le fracture numérique.

« Absolument. Pour 25% des personnes en situation de pauvreté, le smartphone est le seul appareil numérique qu’elles possèdent. S’il offre une certaine forme d’accès de base, le smartphone est néanmoins souvent inadapté pour réaliser des tâches essentielles : rédiger un CV, introduire sa déclaration fiscale... Sans ordinateur ni Internet stable, de nombreuses portes numériques restent fermées. »

Quelles sont les autres raisons qui expliquent cette fracture numérique ?

« Souvent, les gens manquent des compétences numériques nécessaires. Ils n’ont jamais appris à effectuer des tâches basiques, comme utiliser un moteur de recherche, ajouter une pièce jointe à un e-mail ou télécharger une app. Sans ces connaissances, le monde numérique leur est inaccessible. Et puis il y a le stress numérique. La peur de commettre des erreurs, d’être piraté ou de compromettre sa vie privée est dissuasive pour beaucoup. Même si elles ont les compétences requises, certaines personnes choisissent délibérément de ne pas utiliser les services numériques. La technologie suscite chez elles la méfiance et l’inquiétude, ce qui crée une barrière importante. »

Quel rôle les entreprises peuvent-elles jouer pour combler ce fossé ?

« Les entreprises peuvent jouer un rôle clé à différents niveaux. Il s’agit non seulement d’un problème social, mais aussi d’un défi économique. Aujourd’hui, les personnes moins axées sur le numérique sont à la fois des clients et des travailleurs potentiels. Prendre conscience de cela en tant qu’entreprise, c’est la première étape, mais aussi de la plus importante. Mais il faut aussi soutenir les travailleurs. Un exemple ? Les collaborateurs du service Espaces verts de la Ville de Gand ont reçu une formation pour remplir leur déclaration fiscale en ligne. De telles initiatives permettent aux participants d’acquérir des compétences pratiques et d’avoir davantage confiance en eux. Enfin, les entreprises doivent effectuer un check du know-how numérique. Mesurer, c’est savoir. Ce n’est pas parce que quelqu’un travaille tous les jours sur un ordinateur portable qu’il a de bonnes compétences numériques. »

Que fait concrètement BNP Paribas Fortis pour favoriser l’inclusion numérique ?

« Plusieurs initiatives sont développées. En 2020, nous avons créé DigitAll, une plateforme de partage des connaissances et des bonnes pratiques en matière d’inclusion numérique. Nous y rassemblons aujourd’hui plus de 130 organisations. DigitAll a par exemple développé une check-list qui permet aux entreprises de tester l’accessibilité de leurs applications et sites web. Pour les personnes ayant des compétences numériques plus faibles, faire face à une interface simple peut faire toute la différence. Depuis 2021, la banque soutient également une chaire de la VUB qui étudie le lien entre l’inclusion numérique et les droits humains. »

Quelle est l’importance des outils à cet égard ?

« Avoir des outils conviviaux est indispensable. C’est pour ça que nous collaborons avec Emporia, un fabricant de smartphones conviviaux destinés aux utilisateurs moins à l’aise avec le numérique. Lorsqu’un client achète un smartphone de ce type, nous préinstallons notre app pour lui sur ce smartphone. »

Nous avons évoqué le stress numérique : comment lutter contre celui-ci ?

« Par le biais de campagnes de sensibilisation. Nous voulons que nos clients utilisent nos outils en toute confiance. La banque se soucie aussi de ses clients moins compétents sur le plan numérique. Grâce au partenariat conclu avec bpost, tous les clients peuvent se rendre dans le bureau de poste de leur village pour toutes les opérations bancaires de base. »

Les entreprises ont-elles donc tout intérêt à favoriser l’inclusion numérique ?

« C’est certain. L’inclusion numérique exige des efforts continus, y compris de la part des pouvoirs publics et des établissements scolaires. Personne ne peut être laissé de côté. Les entreprises qui agissent aujourd’hui contribuent non seulement à une société meilleure, mais aussi à leur propre avenir dans un monde de plus en plus numérique. » 

« Sans de solides compétences digitales, de nombreuses portes numériques restent fermées. »
« Pour les personnes ayant des compétences numériques plus faibles, faire face à une interface simple peut faire toute la différence. »
« Des compétences digitales limitées sont un obstacle pour combler la fracture numérique. »

Linde Verheyden, Director Public Affairs chez BNP Paribas Fortis et présidente de DigitAll

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09.12.2024

Entrepreneuriat sécurisé avec BNP Paribas Fortis

Tous les chefs d’entreprise vous le diront : les marchés financiers sont imprévisibles et cela implique des risques. Nous vous proposons des solutions pour diriger votre entreprise en toute sécurité.

Petit ou grand, domestique ou international : si vous entrez sur un marché en tant qu’entrepreneur·e et faites de votre mieux pour faire prospérer votre entreprise, il y aura inévitablement des moments où vous courrez des risques dans le cadre de vos activités. Frédéric Raxhon, Head of FI Midcap Sales chez Transaction Banking de BNP Paribas Fortis, est spécialiste en la matière. Fort de son expertise, il nous dévoile la manière dont BNP Paribas Fortis s’occupe de la sécurité des entreprises.

Frédéric Raxhon a une vision claire de l’impact de la volatilité des marchés sur les opérations quotidiennes des petites, moyennes et grandes entreprises. Son parcours professionnel de banquier dans le domaine de la finance d’entreprise, des actions et des produits dérivés, ainsi que dans l’accompagnement de sociétés holdings et cotées en bourse lui permet d’observer le fonctionnement du marché d’un œil aguerri.

Frédéric Raxhon : « Nous comprenons parfaitement que l’incertitude des prix, sous forme de volatilité sur les marchés financiers, peut avoir un impact significatif sur le fonctionnement et la rentabilité des entreprises. C’est pour cela que nous surveillons en permanence les marchés et leur volatilité : si les prix fluctuent rapidement, nos clients risquent d’acheter trop cher et de vendre trop bon marché. Nous avons déjà eu notre compte à ce niveau-là ces dernières années : une forte hausse des taux d’intérêt, une crise énergétique avec des prix extrêmement volatils et une forte hausse de l’inflation.

Nous nous attendons toujours à une volatilité sur ces marchés, en raison notamment des tensions géopolitiques et des guerres qui ne se terminent pas. Mais les élections provoquent également de la volatilité, car elles entraînent souvent un changement d’attitude des pays vis-à-vis de l’économie. Donald Trump envisage ainsi d’augmenter significativement les droits de douane pour les États-Unis. Cela aura un impact sur la croissance et les inflations mondiales. L’écologisation de la société par la transition énergétique, aussi positive soit-elle, est également source d’incertitude. Par exemple, elle contraint les entreprises à consentir d’énormes investissements, sans savoir clairement quelles technologies survivront…

Tous ces facteurs montrent surtout une chose : les entreprises ont besoin d’un accompagnement, dans lequel elles reçoivent une solution sur mesure, pour s’assurer que l’impact de la volatilité des marchés sur leur fonctionnement soit minimal et qu’elles puissent se concentrer sur leur cœur de métier. »

Orientation solutions

Cette solution provient d’un partenaire qui occupe une position de leader du marché dans la sécurisation des entreprises nationales et internationales.

Frédéric Raxhon : « Chez BNP Paribas Fortis, notre tâche consiste très souvent à gérer les risques des entreprises qui ont un certain nombre de souhaits simples sur la liste de leurs envies : elles veulent faire des affaires d’une manière ordinaire et quotidienne ; acheter à un prix le plus fixe possible ; payer leurs salaires dans un environnement stable ; vendre à des clients avec une marge rentable et stable… Lorsqu’ils ressentent une incertitude pour leur fonctionnement sur le marché, nous sommes là pour les accompagner et leur apporter des solutions adaptées aux différents scénarios.

Cela peut aller des entreprises qui veulent de la stabilité lorsqu’elles achètent ou vendent des biens dans une autre devise, à la maîtrise des taux d’intérêt variables dans leurs emprunts actuels ou futurs, en passant par la création d’un environnement financier stable dans lequel elles peuvent payer leurs salaires de manière constante. Mais nous couvrons également les matières premières : les entreprises qui consomment beaucoup d’énergie, de métal ou, par exemple, de blé – quelques-unes des matières premières soumises à des fluctuations de prix – peuvent compter sur notre expertise pour transformer leur incertitude en certitude.

Lorsque, à la fin de l’année, les entreprises bouclent leurs budgets pour les années à venir, le fait qu’elles intègrent des hypothèses dans leurs budgets et leurs charges est un facteur dont les marchés futurs ne tiennent bien entendu pas compte. Et cela peut entraîner des incohérences dans le fonctionnement de l’exercice suivant. Nous proposons aussi régulièrement des solutions dans ce cadre ; des solutions qui injectent de la confiance dans l’ensemble de ce processus. Nous aidons les chefs d’entreprise à rendre la « viabilité » de leur entreprise indépendante de ce qui se passe sur les marchés financiers. Cette orientation solution permanente, quel que soit le scénario, fait partie intégrante de BNP Paribas Fortis. »

Ressenti international

Étant donné que les entreprises belges font de plus en plus souvent le pas vers l’étranger, il est crucial d’observer l’économie en développement d’un point de vue international.

Frédéric Raxhon : « Dans l’espace économique, tout est étroitement lié. La crise énergétique, par exemple, ne s’est pas uniquement jouée à l’intérieur des frontières nationales. À l’époque, les prix de l’électricité chez nous étaient aussi directement liés au fait que la France ne pouvait plus fournir autant d’énergie nucléaire qu’auparavant pendant une période. Les élections américaines ont, en raison de la nervosité des investisseurs et des marchés environnants, une influence directe sur les activités commerciales dans l’espace international. Et je pourrais encore donner de nombreux autres exemples.

Nous nous attendons d’ailleurs à ce que cette interdépendance et cette volatilité se poursuivent : de nombreuses tendances économiques et mondiales alimentent l’incertitude. C’est pourquoi il est si important de garder le contact avec ce monde et ces incertitudes. Chez BNP Paribas Fortis, nous y parvenons en faisant appel à un réseau mondial d’experts qui, pour ainsi dire, ne dorment jamais. Quoi qu’il arrive et où que cela se passe, il y a toujours des collaborateurs de notre banque à proximité qui suivent la situation et nous conseillent en temps réel sur la meilleure manière d’informer nos clients. Ce réseau vaut véritablement de l’or pour nous et pour nos clients. »

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22.06.2023

Transport maritime : zoom sur l’impact de la décarbonation et de la transition énergétique

Fin mai, BNP Paribas Fortis et l’Université d’Anvers ont réuni une flopée d’experts pour échanger sur les nombreux défis liés à la décarbonation du secteur du transport maritime. Que faut-il en retenir ?

Née il y a 12 ans, la Chaire BNP Paribas Fortis Transport, Logistique et Ports – liée à l’Université d’Anvers – mène des recherches approfondies pour trouver des moyens concrets et innovants de créer un écosystème maritime de plus en plus résilient. Et durable !

Forte du succès rencontré par ses deux premiers événements d’envergure, en 2017 et 2019, la chaire a décidé de remettre le couvert cette année. C’est ainsi que, le 25 mai 2023, une série de spécialistes et d’acteurs du secteur portuaire et du transport maritime se sont réunis dans les locaux de BNP Paribas Fortis, à Anvers, pour débattre de l’impact de la décarbonation dans l’écosystème maritime.

Voici leurs principales conclusions…

1 – Il faut passer à la vitesse supérieure

Le transport maritime est actuellement la forme de transport commercial la plus économe en carbone, sur la base du CO₂ émis par tonne et par kilomètre. Mais il peut faire mieux.

Jusqu’ici, les acteurs du secteur ont privilégié les gains rapides. En modifiant les hélices des navires et en adaptant leur vitesse, par exemple. Mais le 25 mai, les experts se sont accordés sur le fait qu’il est temps à présent d’expérimenter de nouveaux carburants et de nouvelles technologies, et d’évoluer vers des carburants à émissions (quasi) nulles. Le rythme du changement s’accélère, mais il n'y a pas encore de solution miracle. Les coûts (et les risques) sont énormes.

2 – Une réglementation internationale, SVP (et une seule) !

Le cadre réglementaire est complexe et en constante évolution.

D’ici 2030, l’Organisation maritime internationale (OMI), qui dépend de l’ONU, s’engage à réduire la production de carbone de tous les navires de 40% par rapport à 2008. Et de 70% d’ici 2050.

L’Union européenne, elle, s’engage à réduire les émissions de gaz à effet de serre du transport maritime d’au moins 55% d’ici 2030, par rapport à 1990. D’ici 2024, un système d’échange de quotas d’émission (SCEQE) s’appliquera à tous les navires de plus de 5.000 tonnes brutes à destination ou en provenance des ports de l’UE.

Bref : les choses bougent, et dans la bonne direction. Le hic, selon les acteurs du secteur, c’est que de nombreux programmes régionaux et suprarégionaux subsistent en parallèle. Et que cela entraîne une surcharge administrative et financière.

Le 25 mai, toutes les parties prenantes se sont accordées sur deux points : premièrement, une politique internationale unique est indispensable, puisqu’il s’agit d’un secteur mondial ; deuxièmement, les acteurs qui ne respectent pas les règles doivent être sanctionnés.

3 – La transition vers la neutralité carbone sera coûteuse 

L’investissement nécessaire à la construction de nouveaux navires plus écologiques est estimé à 5.000 milliards de dollars d’ici 2050. Le coût de la modernisation de la flotte existante n’est pas encore connu, quant à lui, mais il ne sera pas nul… Par ailleurs, l’investissement nécessaire pour renouveler les infrastructures portuaires s’annonce colossal.

4 – Carburant et/ou technologie de prédilection : l’incertitude règne

Quel sera le carburant ou la technologie du futur ? Les opinions divergent.

De nombreux types de carburant à faibles émissions devraient coexister pendant un certain temps. L’électricité ne sera utilisée que sur les navires côtiers, les ferries et certains remorqueurs. Les grands navires utiliseront du gaz naturel liquéfié (GNL) ou du gaz de pétrole liquéfié (GPL), du méthanol, de l’ammoniac et peut-être même des biocarburants.

Le transport sur de longues distances dépendra dans un premier temps du carburant lourd, éventuellement avec capture et stockage du carbone. L’hydrogène a du potentiel, mais sa densité, son stockage et sa manipulation posent question. L’éolien, le solaire et le nucléaire ne sont pas en reste.

Mais le véritable problème, actuellement, est que si le nombre de navires pouvant fonctionner avec des carburants plus propres augmente effectivement, ces carburants ne sont pas encore suffisamment disponibles à l’échelle internationale. Autrement dit, l’offre est nettement inférieure à la demande.

5 – Les banques jouent un rôle clé

Les banques jouent un rôle clé dans le financement de la transition énergétique. En 2019, onze institutions financières – majoritairement européennes, dont le Groupe BNP Paribas – ont instauré les principes de Poséidon, qui soutiennent la transition vers un shipping à faible émission de carbone. Grâce à ce cadre mondial, l’intensité carbone des prêts bancaires du secteur maritime peut être mesurée, et connue de tous et toutes. Aujourd’hui, on dénombre 24 signataires, dont des institutions financières japonaises. Et c’est une bonne nouvelle.

Envie d’en savoir plus ?

Les présentations, vidéos et photos de l’événement du 25 mai 2023 sont disponibles sur cette page.

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13.10.2022

Sylphar, Lansweeper et Qover remportent les Private Equity Awards

Les entreprises lauréates ont été mises à l’honneur par notre banque et la Belgian Venture Capital & Private Equity Association ce 12 octobre. Elles ont toutes trois connu une croissance remarquable grâce au soutien du private equity.

Les grands vainqueurs des Private Equity Awards 2022 sont connus. C’était déjà la cinquième fois que BNP Paribas Fortis organisait cet événement en collaboration avec la Belgian Venture Capital & Private Equity Association (BVA). En plus de récompenser des entreprises belges à forte croissance, c'est aussi une belle occasion de mettre en avant la plus-value du capital à risque, tant pour les entreprises débutantes en pleine croissance que pour les entreprises matures.

Et les vainqueurs sont...

Les trois vainqueurs ont été choisis parmi neuf nominés répartis en trois catégories : Venture capital, Growth et Buy-out de l’année.

Qover a été élue « Venture Company of the Year ». Ce prix récompense de jeunes entreprises qui, avec le soutien d’un investisseur en capital-risque, développent et commercialisent un produit ou service innovant.

Qover permet aux entreprises numériques d’intégrer les assurances dans leur proposition de valeur. L’entreprise a développé une plateforme technologique permettant de lancer un produit d’assurance sur tous les marchés, dans toutes les langues et dans toutes les devises en l'espace de quelques jours. L’entreprise est prête à se développer à l’échelle internationale et a convaincu avec son modèle d’entreprise innovant et disruptif.

Lansweeper a remporté le titre de « Growth Company of the Year ». Cette catégorie met en avant des entreprises qui entament ou connaissent un développement affirmé de leurs activités par le biais d'une croissance organique ou d’acquisitions, et qui pour cela font cause commune avec un partenaire financier qui ne vise pas une prise de contrôle.

Lansweeper est un fournisseur de plateformes de gestion des actifs informatiques qui aide les entreprises à mieux comprendre leurs équipements et leur réseau informatiques, à les protéger et à les gérer de manière centralisée. L’entreprise a développé une plateforme logicielle permettant de répertorier tous les types de ressources technologiques, logiciels installés et utilisateurs. En plus d'avoir enregistré d’excellents résultats financiers, l’entreprise est parvenue à s’implanter solidement à l’international.

Sylphar occupe la première marche du podium dans la catégorie « Buy-out Company of the Year ». Celle-ci est dédiée aux entreprises dont il s'agit de garantir la croissance par l'action conjointe du management et d'un investisseur en private equity disposant d'une participation de contrôle.

Sylphar développe et conditionne des produits OTC innovants et conviviaux dans le monde entier. Elle se concentre sur les médicaments qui sont vendus directement au consommateur sans l'intervention d’un médecin. Pensons aux kits de blanchiment des dents et autres produits pour le soin de la peau, des cheveux et du corps. La transformation numérique spectaculaire de son processus de vente, sa forte expansion internationale et le développement rapide des produits ont été décisifs.

« Le private equity est l'instrument de financement idéal pour favoriser l’innovation et la croissance durable. Ces trois victoires bien méritées le prouvent une fois encore », déclare Raf Moons, Head of BNP Paribas Fortis Private Equity.

En savoir plus sur le département Private Equity de BNP Paribas Fortis.

Source : Communiqué de presse 

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